Sam 19 Nov 2022 - 12:29
Vos deux scénarios sont validés et vous gagnez respectivement +25 Astras !
*file ajouter tout ça*
*file ajouter tout ça*
Un monde où des cités prospèrent au milieu d'un océan de brume aux propriétés paranormales, semblant recéler bien des secrets. Certains l'explorent pour essayer de lever le voile sur les mystères d'Uhr.
Bora est le frère cadet d'Ohfir et Sivan. Dans un premier temps dissimulé entre les murs du palais familial, la rumeur a fini par courir que les Ira·Seol avaient mis au monde un zoanthrope, et Bora s'est vu désavoué par la famille. On lui donna un an pour disparaître de la cité, en attendant de quoi il était toléré entre les murs des Ira·Seol. Leur relation est au pire conflictuelle, au mieux froide. Ils pourraient probablement s'entendre si on omettait ces tensions familiales imposées sur les épaules des deux jeunes, mais la pression est telle qu'ils n'osent pas s'adresser la parole. Bora est persuadé qu'Ohfir le déteste, et Ohfir laisse sa mère le convaincre qu'il vaut mieux l'exclure pour le bien de la famille.
Neela est la fille d'Amitabh II Deshmukh, le roi actuel de Lapis, ce qui en fait la princesse héritière. Les enfants des quatre familles avaient grandi ensemble pendant leurs premières années, avant que la famille Ira·Seol ne soit écartée des jeux politiques. Neela avait alors la stricte interdiction de côtoyer les enfants Ira·Seol. En dépit de l'ordre de son père, la princesse et Ohfir parvinrent à se voir en cachette. Ohfir lui offrit ses enseignements pour le combat et ils se lièrent d'amitié assez vite.
L’as dissimulé dans sa manche, sa botte secrète, sa diseuse de secret, son « Oracle d’Ombrelune. » Ekaterina considère qu’elle a « fait » Sibylle : elle l’a nommée, lui a appris à lire, à écrire, à mentir, à survivre parmi les hommes. Avec son pouvoir d’hypersensibilité et sa capacité de naviguer la Brume comme si elle n’était pas là, Sibylle est un atout extrêmement précieux aux yeux d’Ekaterina. Ainsi elle la chérit, elle la gâte, cède à ses rares caprices et la choie, la tenant aussi loin possible de ceux qui ne partagent pas ses opinions. Ekaterina a cependant des doutes sur la loyauté de cette dernière qui semble s’enhardir et s’émanciper quelque peu dernièrement : il faudra songer à lui rappeler à qui elle appartient.
La demi-tritonne ignore tout d’Ekaterina, mais Ekaterina sait tout d’elle et de sa famille. Dans sa jeunesse, la grand-mère de Naetish dû fuir Opale en raison de l’enfant hybride auquel elle donna naissance. Déjà hybride elle-même, portant du sang Excelior, elle se tourna donc vers cette famille cachée pour l’aider à s’échapper. Ekaterina se fit une joie de s’exécuter, sous réserve que la jeune femme la tienne informée des moindres faits et gestes de l’Eglise, se disant déjà à l’époque qu’un tel pion lui serait très utile à l’avenir. A sa mort sa fille devenue évêque prit la relève. Ekaterina, fidèle à sa parole, continue de protéger la famille – tant qu’elle tient parole elle aussi.
Après avoir été élu membre du comité, il a laissé la direction de Varga Armements à son fils, Oswald Varga, qui en a toujours fait une gestion calamiteuse, particulièrement depuis que sa fille Agatha est morte...
... mais aux yeux du vieux Willy, la mort de sa petite-fille n'est pas un prétexte suffisant à la dégringolade de l'entreprise familiale. Les relations entre père et fils sont extrêmement tendues et hostiles, les deux se voient rarement et leurs rencontres sont toujours explosives. William ne supporte tout simplement plus la mollesse et la bizarrerie de son fils.
Varga Armements génère chaque mois de nouveaux scandales, tandis que les morts se multiplient au sein de l'usine, que le chiffre d'affaires s'effondre, et que tout le monde a bien remarqué qu'Oswald a perdu la raison (pire encore, qu'il pourrait oeuvrer contre l'intérêt d'Epistopoli... ?).
Et malgré tout, William continue à protéger son fiston, pour qui il n'a pourtant aucun amour. Parce qu'il ne voudrait pas que son entreprise tombe entre les mains d'un incompétent qu'il ne contrôlerait pas, et espère reprendre l'usine en main une fois que son crétin de fils aura passé l'arme à gauche.
De par le manquement à la promesse d'un héritier qu'Elias a commis auprès des Bloom, Joseph est celui qui cherche le plus à détruire sa réputation. Malgré plusieurs années d'échecs cuisants à son égard, ils sont toujours déterminés à ruiner sa vie et à lui mettre des bâtons dans les roues.
Elias est le porte-parole des scientifiques d'Epistopoli et donc le numéro deux du pays, partageant ses responsabilités avec le grand patron. Sans pour autant s'affronter ouvertement, il est clair que le Régent et la Grand Sapiarque sont désormais deux adversaires politiques dont l'équilibre des forces pourrait basculer à tout instant si une mauvaise décision était prise d'un côté ou de l'autre. La cohabitation et la coopération fonctionnent pour l'instant, mais la moindre étincelle mettra le feu aux poudres.
Quand il sera plus grand, Meliabor voudrait bien une casquette aussi. D’ici là, le Golem s’entraîne à prendre une grosse voix et à ordonner des manoeuvres de navigation, à dire aux matelots de s’bouger l’mou, et après une victoire, de beugler pour que l’cuistot prépare à tout l’monde un grand plateau d’bâtonnets de colin !
…et parfois, le Capitaine le surprend en train de s’exercer dans sa cabine, devant son miroir, avec sa casquette sur la tête.
…et c’est assez embarrassant.
C’est trop marrant : quand tu fais picoler Meliabor, la vinasse lui ressort par tous les pores. Et c’est peut-être dû au rafraîchissement soudain de son organisme, mais le Golem devient plus énergique et pétulant lorsqu’il est tout imbibé.
…le seul souci, c’est que ça dégueulasse le parquet, et qu’après, on se fait sacrément engueuler.
L’air de rien, c’est la troisième fois aujourd’hui que Cécil le rattrape avant qu’il ne passe par-dessus bord. Ou qu’elle le réceptionne tandis qu’affublé d’un tonneau sur la tête, il se met à dévaler le pont en hurlant. Et que dire de la fois où en voulant aider à sécuriser les cordages du grand mât, il s’est envolé dans la tempête et y est resté à faire du vol plané jusqu’au matin ?
…ouais, mieux vaut garder un oeil sur Meliabor.
Rosarque est très inquiet.
Meliabor est tellement petit. Et fragile. Et naïf.
Que se passerait-il s’il faisait une mauvaise rencontre en s'acquittant de ses corvées, ou en allant acheter des cordages et des filets sur les quais ?
Non… mieux vaut l’équiper d’un canon gauss et d’un lanceur de capsules de feu grégeois, juste au cas où.
[Aux échecs, le pion qui atteint la dernière case est promu, et devient la pièce maîtresse du jeu.]
Des maillons de la résistance, Jessamy est celui que Lucrèce connaît le mieux. Plus que son intermédiaire privilégiée avec l’extérieur, la mutante a tissé avec la golem un lien intime. Et pour cause : Jessamy a reconnu la révolte qui brûle sous la pierre froide. L’envie féroce de liberté sous la tranquille écorce qui n’a pas toujours été sienne.
Elle sait la douleur d’avoir été façonnée par les désirs d’autrui, de n’être pour de sombres desseins que le trophée. Et Lucrèce elle-même ne craint pas les griffes et les crocs qui sur son corps ne peuvent que riper. Son affection pour l’être de chair s’est instillée malgré elle dans ses nervures pierreuses ; et leurs discussions sous le préau du jardin du Yusang sont devenues bien plus que de simples échanges pragmatiques pour servir leur intérêt commun.
Lucrèce retrouve en Jessamy ce qu’elle ne peut se permettre : sa radicalité ancrée au corps, ses mots bouffis d’impertinence, sa rébellion fulgurante quand elles refont le monde. À la fois enviable et inquiétant, ce qu’elle ne manque jamais de lui rappeler.
[Aux échecs, le gambit est le sacrifice volontaire d’un pion, dans le but d’obtenir un avantage stratégique non-matériel.]
Le Capitaine Lawrence essaie d’obtenir un mécénat pour financer ses expéditions et la croissance de son organisation. Ses idées sont intéressantes, mais naïves. Il porte notamment un regard très superficiel sur le monde du commerce.
Parfois, il donne l’impression d’avoir vécu dans une bulle…
…et Lucrèce sait bien ce que cela fait.
On nous pardonnera le jeu de mot, mais pour Lucrèce : le Capitaine est facile à mener en bateau.
En lui faisant miroiter l’accord qu’il convoite, et en lui distribuant quelques miettes de ça et de là, il n’est pas difficile de s’en faire un agent, mobile et pratique, capable d’intervenir dans toute l’enclave.
A titre professionnel, Lucrèce entend bien profiter de ces failles.
…mais à titre personnel, Lucrèce trouve quelque chose de spécial, comme une dissonance un peu particulière, dans l’attitude de ce pauvre homme.
C’est comme s’il y avait quelque chose d’autre, qui la regarde à travers les yeux du Capitaine.
Sans vice et sans avidité. Avec une compassion un peu lasse, qui paraît vieille et usée comme le monde…
C’est un regard qu’elle trouve rafraîchissant.
C'est sa soeur. Mais plus que cela, c'est la seule personne avec qui elle peut se permettre de laisser sortir ses émotions. Sa confidente, sa protectrice, le pilier de son existence. Jusqu'à ce qu'elle soit forcée à quitter Xandrie...
Elles se cont rencontrées lors d'une soirée che Elorya. Cette dernière et Elvira ont passé la majeure partie de leur temps ensemble, et Erelia se sent très proche d'elle... Même si elle n'a pas vraiment eu l'occasion de la revoir récemment.
Un Roi déboussolé, qui sent bien qu'il pourrait perdre sa couronne et son chef avec. Un Dynaste incertain de son héritage qui, jamais durant sa vie, ne s'est demandé ce qu'il adviendrait après sa mort. Huan Qin a senti la brise passer en ce début d'année 1900, celle d'un vent nouveau, révolutionnaire ou non. Tout le monde veut sa tête sur une pique, même ceux qui sont censés le servir. Il n'ose pas le dire. À personne. Mais c'est les déductions qu'Amalia en a fait après qu'il l'ait invitée à un déjeuner. Le Guet protège le peuple, le Roi fait partie du peuple, donc le Guet protège le Roi. Mais le Guet doit-il protéger le Roi contre son propre peuple ?
Une femme recherchée, mais le destin qui lui est associé par le Gouvernement n'est pas celui que le Guet lui réserve. Une rencontre a déjà eu lieu entre les deux pointures de leurs forces armées respectives. La Princesse n'est qu'un étendard là où c'est Elles qui tire réellement les ficelles et empêche cette coalition de la Cour des Miracles de s'effondrer sur elle-même comme un château de cartes. Elle n'a qu'un mot à dire et le feu des enfers se déchaîne sur la cité. Mais elle ne le fait pas... pourquoi ? Une supérieure trop pacifiste ? C'est peut-être avec elle qu'il faudrait discuter... si le maillon fort ne se trouvait pas en aval de la chaîne de commandement.
Du point de vue d'Aegias, Huan Qin est parfaitement là où il devrait être : sur son trône, à profiter de cet opium qui cause l'opprobre de son règne. Il n'y a pas grand chose de plus à espérer de ce mollasson, d'autant plus qu'il a déjà accompli sa tâche, à savoir achever l'emprise d'Opale. Il s'est désormais enfermé dans son propre piège et ne peut plus agir seul ; ses Ministres décident pour lui mais n'ont pas réellement plus de latitude. Dans le fond, le seul que les Sept Familles écoutent réellement, c'est le Ministre de la Justice, alors il lui prend souvent l'envie de disséminer ça et là des billes à ses « homologues » pour leur donner l'illusion d'être entendus outre-Dunes.
Un laquais à la fois au service des Reddington et des Cassandre et qui se veut leur porte-parole, sous couverts d'ambassadeur d'Opale. Il n'en reste pas moins un individu intelligent qui a su tirer ses cartes du jeu et les abat comme il se doit, faisant à la fois figure dans les politiques internes et les affaires étrangères. Ce pourrait être un individu dangereux si l'on cessait de traiter avec lui et de lui donner ce qu'il veut. Tant que les mines de Myste et les raffineries tournent, créant de la valeur infinie pour la Cité aux Mille Lumières, ses employeurs n'ont aucune raison de se plaindre et le gouvernement xandrien non plus.
Camélia a de l'affection pour sa fille, même si elle ne le montre que très peu, mais est surtout exaspéré par celle ci. Lili semble n'avoir jamais quitter sa phase rebelle, elle ne cesse de mettre en péril la prospérité de la famille.
Dio est le divine enfant de Camélia. Ils ont une vrai relation symbiotique et elle adore passé du temps avec lui. Elle ne peut qu'être très fier des talents et du comportement du jeune homme.
Lili et Camélia ont une relation très conflictuelle. Lili a cessé d'essayer de satisfaire les attentes démesuré de sa génitrice. Maintenant elle essaye juste d’obéir au minimum à la matriarche afin de garder son train de vie et son luxe.
Couple qui peut se montrer conflictuelle, ils sont en réalité fait l'un pour l'autre. Les joutes verbales et autre altercations physique font partie du jeu. Ils s'en amusent. Lili tient beaucoup à lui et son absence se fait toujours sentir.