Mar 7 Nov - 10:22
Amauhr Cassandre
Epistopoli / Soldat
- 282 ans qui préfère dire 28/ 14 aout 1618
- Strigoï / Masculin
- Sancta/Epistopoli
- Omnisexuel/ Il
- Actuellement personnel naviguant commercial de la compagnie Lindblum
- Jason Todd (DC comics)
Description
Du genre affable et au sourire facile, Amauhr donne l'impression d'être l'ami d'un ami que tout le monde connaît sans vraiment le connaître. Il parle beaucoup, mais peu de lui ou de ses origines en préférant écouter les histoires des autres "plus intéressantes que celles d'un vagabond." qu'il répond souvent quand la question vient. C'est dommage de mentir par omission, mais là est le prix payé pour une vie tranquille et sans soucis, loin des questions et des soupçons.Sortant du lot sans être trop différent, le jeune homme se tient quelques centimètres au-dessus du mètre 80 où trônent des yeux bleus tirant presque sur le sarcelle quand la faim se fait trop sentir. Il n'y a pas grand chose à dire sur lui à part cela, si ce n'est les mèches blanches dans ses cheveux dont même n'est pas sûr de l'origine, mais rigole souvent en l'associant au stress causé par des années à vagabonder sur les routes.
C'est parfois dur pour lui de garder la foi en les douze dans ce monde moderne, encore plus depuis qu'il s'est installé à Epistopoli, mais c'est tout ce qui lui reste de son passé et de sa famille. Peut-être que la foi est une relique du passé, mais comment justifier son passé, ses blessures et ses peurs si elle devient obsolète? Peut-être qu'au milieu de cette confusion se cache une peur d'avoir subi tout cela en vain, mais ça ne sert à rien de ressasser de vieilles peur et le réconfort de se recueillir sous les branches d'Uhr dans ses moments de faiblesse en vaut le coup,
Ses cicatrices? Amauhr en possède beaucoup et possède encore plus d'histoires sur leurs origines, préférant taire une partie de l'histoire ou la modifier pour la rendre plus ordinaire. Personne ne sait vraiment ce qu'il faisait avant de se faire engager par la compagnie, mais il est impossible que ses talents martiaux et son sang-froid soient sortis du néant...que de questions que son pas confiant et ses histoires abracadabrantes ne peuvent répondre, sa préférée étant celle de ses années dans un cirque d'Opale en tant qu'avaleur de sabres. Des regards circonspects aux rires alcoolisés, les réactions sont garanties. Personne n'a besoin de savoir la dure éducation reçue, ce n'est pas nécessaire.
Son nom? N'y portez pas trop d'attention, ce n'est que celui que sa mère avait avant de quitter sa cité natale, mais il adorait l'entendre parler de sa jeunesse et de sa famille désormais si loin d'elle. La vie qu'elle décrivait était si différente que les questions étaient toujours nombreuses. Peut-être est-ce de là que sont venues ses premières envies de découvrir le monde…mais ce n'est que tout récemment qu'il a recommencé à le porter, se disant que peut-être ça pourrait l'aider à ouvrir quelques portes. En dehors de cela, il n'apprécie pas beaucoup qu'on lui pose des questions à ce sujet.
Amauhr est Amauhr, tout simplement. Une oreille à laquelle on peut se confier, une épaule sur laquelle pleurer ou une main faisant valser des lames et voler les balles. Il faut faire vite avant que ses jambes soient prises de la bougeottes et qu'on le voie disparaître sur la route. Il est inutile à chercher à voir ce qui se cache sous la surface, ça ne vous plairait pas de toute façon cette manie qu'il a de chercher à se jeter directement dans le danger et le (un peu trop) de plaisir qu'il a pour la violence du champs de bataille. Malgré ses envies de vivre une vie paisible et sa sensibilité à la chaleur de l'astre solaire, son sang bat chaud dans ses veines quand il s'agit de dangers mortels.
Habiletés et pouvoirs
Ah qu'il est rapide et efficace, Amauhr, accomplissant ses tâches proprement et sans faire attendre et avec le sourire aux lèvres, ses résultats d'évaluations de performances professionnelles restent excellente sans trop se démarquer. Ah qu'il est rapide, c'est en remerciant l'ascendance sanguine des Strigoï, lui donnant un poids plume bien avantageux quand il s'agit de se jeter dans la mêlée. Enfin, ça le serait plus s'il s'y donnait à fond, mais cela viendrait à attirer des soupçons inutiles sur l'infamie se terrant dans ses entrailles.Son arme préférée a toujours été l'épée, un art qu'il pratique depuis toujours et qui lui a été enseigné par son père il y a de cela bien longtemps maintenant. Certains experts verront dans la base du style de combat d'Amauhr ressemblent aux techniques aujourd'hui enseignées par les nobles maîtres d'escrime de La Splendide, mais dont les détails un peu différent, mais il fait l'ignorance sur la question, c'est plus simple que de mentir. Sans être un génie, l'expérience et un entraînement constant font de lui un adversaire qui adore jouter et faire croiser les fers, mettant sa vie en jeu. L'amour du combat et l'exaltation du danger, une combinaison des plus dangereuse quand on a plus grand chose à perdre.
Son intérêt pour les armes à feu est plutôt récente, ayant toujours été du type à se jeter sur son adversaire, mais il est indéniable qu'une arme de poing peut être utile de temps en temps. Sans être extrêmement habile, son habileté est tout à fait correcte, ça ne peut pas être si compliqué…
Biographie
Un petit résumé incomplet de l'histoire pour l'instant qui sera modifié et finalisé prochainement1618: Mère avait quitté sa famille et son statut pour suivre son amant et vivre chez lui. Si gentille et naïve, la jeune noble s'était laissée emportée par les ailes de l'amour et s'est laissée convaincre par le fanatisme de son amoureux qu'il vaudrait mieux chercher ailleurs une solution de se faire pardonner par les dieux pour son existence strigoï. Le couple nouvellement marié sur la terre sainte a donné naissance à un petit garçon dans la ville s'appelant encore Sancta. La mère, inspirée par son mari, le nommera Amauhr, signifiant "aimé d'Uhr" selon lui, un nom qui sera tour à tour porté et abandonné par le garçon au fil de ses futures errances. L'enfant grandit presque comme les autres, montrant rapidement des signes que son humanité pourrait être remise en question par l'orthodoxie régnante de Sancta.
Enfant maudit à se nourrir de la pureté humaine, père lui a appris à se retenir et se freiner pour rester incognito et garantir une vie sans problèmes. Le sang lui était, évidemment, interdit et père avait proscrit de s'en approcher à tout prix. Innocence brisée trop tôt par le fardeau coulant dans ses veines, dire que son enfance a été paisible et heureuse serait une exagération.
1634 : Amauhr n'a que 16 ans lors Sancta laisse sa place à Epistopoli et l'autodafé des temples des douze restera marqué dans sa mémoire pour les années à venir. Malheureusement, père perdra sa vie en voulant protéger sa maison et sa famille et la vision de son corps sans vie au milieu du chaos le hantera longtemps. En dépit de toutes ces tragédies, Mère n'abandonne pas sa foi et fera face aux remontrances et insultes des hérétiques qui obligeront la famille a s'exiler dans la périphérie d'Aramila où le climat ne sera pas des plus accueillants pour des buveurs de sang, mais la résilience de l'espèce humaine ne cesse de surprendre.
Les humain étaient suspicieux, pour ne pas dire hostiles, envers eux, mais l'adoption d'un régime végétarien et la foi fervente, parfois un peu trop zélée pour les orthopraxistes, de la famille convaincra la population autour d'eux qu'ils n'avaient rien à craindre, mais la population gardera tout de même une distance prudente avec eux...juste au cas où. Il faut faire attention à chaque gestes et chaque paroles sont mesurées pour éviter d'attirer l'attention des autorités.
1655 : Après toute une vie de jeûne imposé, voilà que la tentation entre dans la pieuse vie d'Amauhr. Une tablée entre amis comme les autres autour d'un repas des plus appétissant quand l'accident est arrivé et où la foi a été mise à l'épreuve. Une coupure maladroite avec un couteau fait perler le cruor qui semble étrangement invitant. S'il s'écoutait, ses lèvres seraient déjà autour de la plaie pour goûter à ce fruit défendu. La mortifiante peur d'être traité en monstre et de ferventes prières silencieuses à Uhr ont réussi à le garder ancré à sa place tandis que le moment passait dans la normalité qui était attendue. Il prétextera son regard fixe à un léger malaise causé par la vue du sang et tout semblera bien se passer.
Entracte : Il faudra encore quelques années avant que le jeune homme ne se décide à partir sur les routes pour découvrir le monde, laissant son enfance et sa famille derrière lui. Amauhr restera parmi les sables et Jehni prendra sa place quand le strigoï rejoindra les mercenaire qu'il accompagnera durant un temps. Les voyages forment la jeunesse et la sienne continuera pendant un peu plus longtemps que la moyenne. Il ne reste jamais bien longtemps au même endroit ou entouré du même groupe trop longtemps. Le monde change autour de lui et son impulsivité a bien failli lui coûté la vie plusieurs fois. Ce ne fut pas de tout repos, mais certains souvenirs l'accompagneront longtemps et les souvenirs du ciel nocturne le feront sourire durant les nuits sans étoiles des nuits où voir les étoiles sera impossible.
C'est aussi durant cette période qu'il commencera à expérimenter avec sa faim. Les doctrines ancrées au fil des ans dans son être avaient préséance au début, mais plus le temps avance et plus la tentation lui fait envie. Peut-être juste une fois...une toute petite goutte de rien du tout...personne n'en saura rien, pas comme si ses parents allaient sortir de l'ombre pour le prendre en flagrant délit de sacrilège. Uhr le pardonnera après avoir expié son péché, c'est tout simple. Le prix du sang pour avoir failli, père serait ravi de voir son fils appliquer ses leçons si fidèlement. Malheureusement, un petit vice en entrainera un autre jusqu'à ce que le végétarisme ne lui suffisse plus. Le jus de tomate est devenu fade et inintéressant à côté de l'hémoglobine, mais il reste rare de le voir se nourrir sur des humains vivants, pensant que ses péchés seront plus légers en se contentant de la vermine qui traîne dans les ruelles et lieux peu recommandables.
Sa mère quittera à son tour ce monde dans les alentours des années 1750 et c'est avec le cœur lourd que ses pas quitteront Aramila pour un autre voyage, abandonnant cette fois son nom de famille, le laissant partir avec le vent pour qu'il rejoigne ses parents où qu'ils soient. Le voilà maintenant orphelin dans un monde changeant, sans trop d'attaches ou d'attentes quant à sa survie. Il n'y a plus rien qui le retient de prendre tous les risques pour satisfaire ses envies d'adrénaline.
1858 : Revenu au pays depuis un an après un énième tour des cités, le voilà qui se bat contre l'invasion Epistole dans la marche de Renon où on le déclarera comme mort au combat. Serait-ce un sentiment de patriotisme pour Aramila ou Sancta qui donnera la volonté à sa lame? Peut-être un peu des deux qui sait? L'un des seuls avantages de la guerre est que le sang coule à flot, un sordide festin, qui sera consommé dans la hâte avant l'arrivée de la vermine. Malgré le goût moins appétissant de l'hémoglobine morte, c''est une occasion rare que de pouvoir se nourrir aussi facilement et qui ne sera pas gaspillée. Des traces de cadavres exsanguinés seront peut-être notés dans des rapports de l'époque, mais aucune ne feront mention de lui avec un peu de chance.
1873-1895 : La brume qu'Uhr avait chassé il y a si longtemps…voilà quelque chose qui intriguait le nouvel aventurier disant s'appeler Atir. Faisant partie de la guilde depuis quelques années maintenant, voir les patrouilleurs lui faisait se poser des questions sur la Malice et sa nature profonde. Tous les interdits ancrés par la religion étaient sacrés, mais la maudite curiosité le poussait à vouloir en savoir plus et à comprendre. Peut-être que le divin et le rationnel peuvent coexister sans se faire la guerre, pourquoi est-ce que les douze n'ont pu empêcher la brume de recouvrir le monde? Tant de question et de possibilités, tant de mystères enveloppés dans une délicieuse enveloppe de dangers. Devenir Patrouilleur de son plein gré n'est pas chose commune, pas vraiment ce que les gens considèreraient comme une décision saine d'esprit, mais ce n'est pas comme si quelques monstres allaient lui faire baisser les bras pour autant.
On avait réussi à à éviter les pièges de la Brume pendant un temps, mais cette chance ne pourrais pas durer éternellement, peu importe la force des prières, mais rien d'important n'arrivera durant encore presque cinq ans. Les souvenirs d'Amauhr concernant l'incident sont encore trop clairs, une décharge électrique provoqué par un membre de l'équipe après l'apparition de monstruosités à provoqué une catastrophe. Réfugié avec lui dans un endroit à l'abri du danger, le plus jeune de la patrouille à semblé perdre conscience, le corps convulsant. On aurait pu attribuer ça à l'adrénaline qui tombe et le choc de voir autant d'horreurs lors de sa première sortie, mais quelque chose ne tournait pas rond. Était-ce seulement ces possessions dont il avait entendu parlé? C'était trop risqué de le laisser en vie et c'est sans cérémonies qu'on mit fin aux jours de celui prisonnier des brumes. Perdu, affamé et blessé, c'est du sang encore chaud de la victime qu'on finit par se nourrir, prononçant une dernière prière pour son âme.
Il aurait facile de simplement rentrer à la base après avoir retrouvé son chemin, mais le voilà qui disparaissait encore une fois dans la nature après s'être extirpé de la Mer. On le considèrera sûrement comme mort ou disparu, mais à ce point ça n'avait plus vraiment d'importance. C'était une occasion de se réinventer, de se détacher et dériver un peu jusqu'à atteindre sa nouvelle destination. Après toutes les atrocités auxquelles la brumes aura gravé dans sa mémoire, peut-être que trouver un endroit un peu moins rock'n'roll ne ferait pas de mal.
De nos jours : Les jours coulent tranquillement pour Amauhr depuis son retour sur sa terre natale, malgré le fait qu'elle a été défigurée sans qu'il puisse la reconnaitre. En dépit de son nom désagréable, la ville offre des perspectives nouvelles sur la vie et comment elle vaut d'être menée. Après plus d'un siècle à flotter dans le néant, une brise l'accueillant à son retour que peut-être il était temps de reprendre le nom que sa mère lui avait donné il y a maintenant si longtemps de cela. Peut-être le temps de se cacher était terminé et que ça lui donnerait quelques contacts pour trouver des réponses à ses questions plus rapidement sur le passé et (pourquoi pas) renouer un peu. Pour l'instant, la compagnie Lindblum lui offre de quoi être capable de se nourrir et vivre de façon confortable en plus des dangers occasionnels qui donnent du piment à l'existence, c'est mieux que rien.
No thoughts head empty / Il/lui, mais tout va en vrai
Pour une fois que je casse pas les code, il fallait que je fasse une faute dans le pseudo mdr. Ça fait un moment que j'ai pas fait de fiche, la nervosité un peu on va pas mentir
Dernière édition par Amaurh le Dim 3 Déc - 5:41, édité 9 fois
