Mer 20 Sep - 1:08
Gustaf P. Branagh
Contade / Vagabond
- 39 ans, et toutes ses dents
- Gobelin
- Xandrie
- Hétérosexuel avec préférences pour le surpoids
- Ingénieur | Chef d'un petit groupe paramilitaire
- Daretti de MTG
Description
- Curieux - Rancunier - Obstiné - Ambitieux - Egoïste - Réfléchi - Jovial - Odieux - Aigri - Exigeant - Prévoyant - Bienséant - Rationnel - Ingénieux - Calme - Eloquent - Rusé - Gourmand - Mégalomane -
Un sourire ravageur laisse apparaître une dentition pointue, un visage bouffi à la peau verdâtre l'orne, lui même garni d'une épaisse tignasse de cheveux et de poils entourant la bouille radieuse du gobelin handicapé. D'un boitier sculpté à même l'ivoire, de longs doigts aux ongles noircies en sortent une paire de lunette qui paraît minuscule une fois posé sur son épais nez. Bien vite, sa main gauche retourne jouait avec l'un des nombreux leviers qui lui servent à manœuvrer ses jambes de substitutions, un imposant véhicule naît de son propre génie. Car génie, oui il l'est vous dira-t'il sans la moindre hésitation, encore que beaucoup de ses détracteurs, et la majorité des sains d'esprits, le désigneraient plutôt comme un fou. Mais telle est le destin de tout savant qui se doit, osciller entre la folie et l'éclat.
Le claquement des marteaux contre l'acier, le grincement des rouages accompagnés par le ronflement des moteurs sont autant de bruits qui composent son quotidien. Le quotidien d'un ingénieur travaillant d'arrache pied à la création de machineries, de prothèses et d'armes toujours plus folles les unes que les autres. S'il ne mets plus la mains au travail directement depuis belle lurette, c'est la dizaine de sessous-fifres employés qui s'en chargent dans une parfaite illégalité. Car, malgré sa présence au sein même de la nation vouant un culte à la science, Sir Branagh n'accepte point que ses travaux soient surveillées, et potentiellement interdit, par qui que ce soit. Ainsi se contente-t'il, à son grand damne, à vivre au milieu des détritus et bâtiments désaffectés de la radieuse cité.
Son second lui vend avec entrain l'avancée prodigieuse des travailleurs sur le dernier projet en chantier, un véhicule d'assaut ambitieux que les génies de la grande ville eux-mêmes ne pourraient concevoir. Néanmoins, les moyens à disposition du Sir - qui n'en a le titre que l'illusion - ne sont clairement pas suffisant, lui qui travaille dans ç partir d'anciennes casses et des "trésors" qu'elles regorgent, campé au milieu d'une faille terrestre qu'un tunnel gardait secret permet d'atteindre la capitale. Deux jours entiers sont nécessaire pour le traverser, mais il offre une certaine sécurité aux Scarabées d'Aciers, ainsi qu'une défense toute relative face à la possible attaque de bandes rivales, ou d'une justice un peu trop regardante. Heureusement, tourelles automatisées et mines anti véhiculaires sont légions dans ce passage étroit.
Gontran, le plus proche de Branagh, est bienheureux de le voir aussi enthousiaste, lui qui est d'habitude aussi grincheux que sévère. Il est si rare de le voir calme et capable d'un brin d'empathie.
Doté d'une grande curiosité, le capitaine du groupuscule malveillant met celle-ci directement au service de ses ambitions scientifique et de son insatiable désir de comprendre le fonctionnement des technologies des anciennes civilisations. Bien plus cultivé que sa position actuelle laisse à penser, sa psychologie et son élocution son bien plus proches de celle d'un noble et d'un savant que celle d'un paria de la société. Beau parleur doté d'un honneur plus que douteux, Sir Branagh se joue des autres tel un marionnettiste s'amusant de ses pantins, du moins, c'est ce qu'il prétendra aux donzelles succombant à son charme ventripotent ravageur. La réalité est tout autre, s'il possède l'honneur que l'on attacherait facilement à la noblesse, à leur instar, il n'hésitera pas à jouer de traîtrise et de poignard dans le dos si celui lui est profitable, tout en maniant la langue avec une finesse toute suffisante pour ne point passer pour le grand vilain de l'histoire.
C'est d'ailleurs l'une des sources de honte les plus douloureuses qu'il n'ait actuellement, que sa place soit si basse dans l'échelon social. Une place qu'il a pourtant prise des années plus tôt afin de s'assurer d'une totale liberté, mais à présent, il s'en retrouve davantage frustré que satisfait et rêve à trouver une importance sans ombre en Epistopoli ou ailleurs dans le monde. Mais sa haine pour le Myste, et donc Opale, l'empêche de s'y tourner, tout comme son laquais Xandrien. Quand à la nation religieuse, s'il s'y voit bien manipuler la crédulité des croyants pour atteindre l'ascension qu'il désire, cette possibilité se réfrène aussitôt qu'il se souvient à quel point les Aramiliens sont simplets d'esprit.
Outre satisfaire sa pure mégalomanie, cela lui permettrait également de prendre part plus sereinement, et souvent, à des expéditions visant à explorer la brume et ses richesses technologiques. En attendant, il se terre, collabore avec d'autres clandestins et quelques nobles/savants suffisamment peu scrupuleux pour l'engager, et part en guérilla avec sa compagnie paramilitaire quand ses services sont monnayées.
Le claquement des marteaux contre l'acier, le grincement des rouages accompagnés par le ronflement des moteurs sont autant de bruits qui composent son quotidien. Le quotidien d'un ingénieur travaillant d'arrache pied à la création de machineries, de prothèses et d'armes toujours plus folles les unes que les autres. S'il ne mets plus la mains au travail directement depuis belle lurette, c'est la dizaine de ses
Son second lui vend avec entrain l'avancée prodigieuse des travailleurs sur le dernier projet en chantier, un véhicule d'assaut ambitieux que les génies de la grande ville eux-mêmes ne pourraient concevoir. Néanmoins, les moyens à disposition du Sir - qui n'en a le titre que l'illusion - ne sont clairement pas suffisant, lui qui travaille dans ç partir d'anciennes casses et des "trésors" qu'elles regorgent, campé au milieu d'une faille terrestre qu'un tunnel gardait secret permet d'atteindre la capitale. Deux jours entiers sont nécessaire pour le traverser, mais il offre une certaine sécurité aux Scarabées d'Aciers, ainsi qu'une défense toute relative face à la possible attaque de bandes rivales, ou d'une justice un peu trop regardante. Heureusement, tourelles automatisées et mines anti véhiculaires sont légions dans ce passage étroit.
Gontran, le plus proche de Branagh, est bienheureux de le voir aussi enthousiaste, lui qui est d'habitude aussi grincheux que sévère. Il est si rare de le voir calme et capable d'un brin d'empathie.
Doté d'une grande curiosité, le capitaine du groupuscule malveillant met celle-ci directement au service de ses ambitions scientifique et de son insatiable désir de comprendre le fonctionnement des technologies des anciennes civilisations. Bien plus cultivé que sa position actuelle laisse à penser, sa psychologie et son élocution son bien plus proches de celle d'un noble et d'un savant que celle d'un paria de la société. Beau parleur doté d'un honneur plus que douteux, Sir Branagh se joue des autres tel un marionnettiste s'amusant de ses pantins, du moins, c'est ce qu'il prétendra aux donzelles succombant à son charme ventripotent ravageur. La réalité est tout autre, s'il possède l'honneur que l'on attacherait facilement à la noblesse, à leur instar, il n'hésitera pas à jouer de traîtrise et de poignard dans le dos si celui lui est profitable, tout en maniant la langue avec une finesse toute suffisante pour ne point passer pour le grand vilain de l'histoire.
C'est d'ailleurs l'une des sources de honte les plus douloureuses qu'il n'ait actuellement, que sa place soit si basse dans l'échelon social. Une place qu'il a pourtant prise des années plus tôt afin de s'assurer d'une totale liberté, mais à présent, il s'en retrouve davantage frustré que satisfait et rêve à trouver une importance sans ombre en Epistopoli ou ailleurs dans le monde. Mais sa haine pour le Myste, et donc Opale, l'empêche de s'y tourner, tout comme son laquais Xandrien. Quand à la nation religieuse, s'il s'y voit bien manipuler la crédulité des croyants pour atteindre l'ascension qu'il désire, cette possibilité se réfrène aussitôt qu'il se souvient à quel point les Aramiliens sont simplets d'esprit.
Outre satisfaire sa pure mégalomanie, cela lui permettrait également de prendre part plus sereinement, et souvent, à des expéditions visant à explorer la brume et ses richesses technologiques. En attendant, il se terre, collabore avec d'autres clandestins et quelques nobles/savants suffisamment peu scrupuleux pour l'engager, et part en guérilla avec sa compagnie paramilitaire quand ses services sont monnayées.
Habiletés et pouvoirs
- Vision thermique -
Les gobelins peuvent voir à travers la Brume comme si elle n’existait pas
- PBDT_4 - Prothèse Blindée de Déplacement Tout-terrain -
Sir Branagh n'a plus de jambes, à peine lui reste t'il des moignons de ses cuisses. Pour pallier à ce léger désagrément, il a fabriqué un fauteuil fonctionnant avec l'énergie d'un cristal qui lui permet de se déplacer. Grâce à ses roues crantés et ses pattes arachnides, il peut se mouvoir sur la majorité des terrains sans être entravé, comme des marches ou de la boue. Sa vitesse de croisière est d'environ 7km/h, et s'il est incapable de courir, il peut cependant pousser son moteur pour se déplacer plus rapidement sur une distance relativement courte. Néanmoins, dû à ses nombreux rouages et son blindage prévu pour les affrontements, l'engin est lourd et peu agile, le rendant délicat, voir impossible, à manœuvrer sur des sols fragiles.
- ScaraBaie -
Imposant véhicule que sa troupe a fabriqué à partir des plans du Sir, le ScaraBaie est une merveille de l'ingénierie du pauvre. Engin tout terrain, dont les pattes peuvent s'accrocher contre des parois rocheuses, il possède un blindage similaire aux chars de combat. Car là est l'une de ses deux facettes, outre qu'il serve de QG mobile pour les Scarabées d'Acier, c'est avant tout un véhicule militaire doté de plusieurs canons à munitions anti véhicule déployable, ainsi qu'un système de contre-mesure électrique détruisant les obus et autres missiles arrivant à sa proximité. Plusieurs meurtrières permettent aux soldats de déployer leurs armes et tirer sur une infanterie un peu trop ambitieuse s'essayant à l'assaillir.
L'intérieur est sommaire, brut, entièrement couvert d'acier et de métal. Les fioritures et décorations y sont rares, il n'y a pas la place, et le confort y est tout aussi absent. Car la majeur partie du bâtiment, situé dans la carapace de la bête, est un atelier permettant l'assemblage, l'entretien et le stockage des drones, robots, armes et autres créations du groupuscule.
La bouche de l'animal peut s'ouvrir afin que ses mandibules d'acier puissent se déployer en pince permettant le ramassage de matériaux. Les pinces, modulaires, peuvent être remplacé par une foreuse.
Il est rare que la compagnie loge réellement à l'intérieur, en général elle déploie à l'extérieur un campement provisoire. Car l'usage principale de ce véhicule et, bien évidemment, la possibilité de ne jamais rester trop longtemps au même endroit pour ne point se faire attraper.
- Les gobelins peuvent voir à travers la Brume comme si elle n’existait pas
- PBDT_4 - Prothèse Blindée de Déplacement Tout-terrain -
Sir Branagh n'a plus de jambes, à peine lui reste t'il des moignons de ses cuisses. Pour pallier à ce léger désagrément, il a fabriqué un fauteuil fonctionnant avec l'énergie d'un cristal qui lui permet de se déplacer. Grâce à ses roues crantés et ses pattes arachnides, il peut se mouvoir sur la majorité des terrains sans être entravé, comme des marches ou de la boue. Sa vitesse de croisière est d'environ 7km/h, et s'il est incapable de courir, il peut cependant pousser son moteur pour se déplacer plus rapidement sur une distance relativement courte. Néanmoins, dû à ses nombreux rouages et son blindage prévu pour les affrontements, l'engin est lourd et peu agile, le rendant délicat, voir impossible, à manœuvrer sur des sols fragiles.
- ScaraBaie -
Imposant véhicule que sa troupe a fabriqué à partir des plans du Sir, le ScaraBaie est une merveille de l'ingénierie du pauvre. Engin tout terrain, dont les pattes peuvent s'accrocher contre des parois rocheuses, il possède un blindage similaire aux chars de combat. Car là est l'une de ses deux facettes, outre qu'il serve de QG mobile pour les Scarabées d'Acier, c'est avant tout un véhicule militaire doté de plusieurs canons à munitions anti véhicule déployable, ainsi qu'un système de contre-mesure électrique détruisant les obus et autres missiles arrivant à sa proximité. Plusieurs meurtrières permettent aux soldats de déployer leurs armes et tirer sur une infanterie un peu trop ambitieuse s'essayant à l'assaillir.
L'intérieur est sommaire, brut, entièrement couvert d'acier et de métal. Les fioritures et décorations y sont rares, il n'y a pas la place, et le confort y est tout aussi absent. Car la majeur partie du bâtiment, situé dans la carapace de la bête, est un atelier permettant l'assemblage, l'entretien et le stockage des drones, robots, armes et autres créations du groupuscule.
La bouche de l'animal peut s'ouvrir afin que ses mandibules d'acier puissent se déployer en pince permettant le ramassage de matériaux. Les pinces, modulaires, peuvent être remplacé par une foreuse.
Il est rare que la compagnie loge réellement à l'intérieur, en général elle déploie à l'extérieur un campement provisoire. Car l'usage principale de ce véhicule et, bien évidemment, la possibilité de ne jamais rester trop longtemps au même endroit pour ne point se faire attraper.
Biographie
11 Lugrilen 1861 - Naît à Xandrie dans une famille d'explorateur et scientifique, membre de la petite noblesse, dû à leurs travaux, Sieur et Dame Branagh éduquerons Gustaf dans le but d'en faire un scientifique tout comme eux.
Sa première décennie sera calme, enfant curieux, studieux, taquin et créatif, il passera une grande partie de son temps libre à s'intéresser à la mécanique et la physique plutôt qu'à jouer avec les autres gamins. Une habitude provenant sans doute de la moquerie qu'il recevait des autres élèves pour sa condition raciale ainsi que la frustration que d'autres pouvaient ressentir face à son "intellect" précoce.
1870 ~ 1871 - Les parents Branagh rejoignent la guilde des aventuriers et feront partie de la première expédition en territoire brumeux.
21 Uhr 1877 - Grâce à la petite influence de ses parents et ses résultats scolaires plus que positifs, les portes d'une université Opaline lui ouvriront ses portes. Si cette dernière ne faisait pas partie des cinq plus prestigieuses de la glorieuse nation, sa côte n'en était pas mauvaise pour autant.
Ainsi, à l'aube de ses 16 ans, le jeune Gustaf Pieter Branagh débutera une éducation supérieur dans le domaine de l'ingénierie mécanique, de l'étude des anciennes civilisations ainsi que du fonctionnement théorique des cristaux. S'il était destiné par ses parents à suivre leur traces, il bifurqua légèrement de cette voie pour y préférer l'aspect technologique et créative des anciens, plutôt que l'étude de leurs constructions, cultures etcetc...
4 Keladron 1881 - Après quatre brillantes années, il obtient son diplôme et retourne en direction de Xandrie pour mettre à l'usage toutes les connaissances qu'il vient d'emmagasiner.
Si l'on peut croire cet évènement comme bienfaiteur pour la suite de sa vie, se cache en réalité sous cette magnifique surface le début de sa rancœur envers les Opaliens et la noblesse. Vivant tel un reclus le nez dans ses livres, le gobelin ne se fit guère d'ami, ni de réel connaissance durant ces années tant on le moquait et ridiculisait. Certains en vinrent même à détruire l'un des projets notés importants, qu'il parviendra à réparer à l'aide de bricole de dernières minutes.
19 Bahlam 1881 - Pour fêter son diplôme, ses parents lui font intégrer une expédition ayant lieu "non loin" des frontières Xandriennes.
Première expérience sur le terrain, l'expédition se déroulera presque sans accro. Néanmoins, l'innocente candeur de l'ingénieur se brisa sur place alors qu'il se trouvait frustrer de ne parvenir à comprendre aussi facilement qu'il l'aurait cru ces technologies perdues. Lui qui s'imaginer résoudre des énigmes antédiluvienne se retrouva face à une dur réalité, il n'était pas le génie qu'il croyait.
1882 ~ 1887 - La désillusion d'un monde réel froid et sans grande empathie continue à assaillir le jeune idéaliste. Lui qui pensait obtenir un poste important au sein de la société Xandriennes. S'il n'escomptait pas obtenir immédiatement la tête de projets importants, il ne s'attendait pas à ce que son diplôme ne lui ouvre qu'un poste de chef de secteur chargé de l'entretien d'une chaîne de raffinerie de Myste. Surqualifié pour un tel emploi, il finira par accepter le poste, n'ayant d'autres options s'ouvrant à lui. Trop attaché à sa terre natale, ainsi qu'à sa famille, Gustaf refuse de quitter le territoire pour se rendre sur le territoire où il connu les moqueries ou vers l'Epistopoli, dépeinte par les journaux et informations comme un piètre lieu de vie.
Sa carrière n'évoluera que très peu, les possibilités sont maigres et son espoir à déjà déchanté. Le gobelin se contente de cette vie dont les seuls éclats sont les trop rares occasions où il part en expédition avec ses parents. Ces évènements ne se produiront qu'à deux autres reprises et chacune ne fera que renforcer sa frustration autant que son désir irrépressible de percer ces mystères.
Habité par ce désir excessif, il s'offrira un ancien bâtiment désaffecté, d'une taille plus que modeste, afin d'y créer son atelier. Là, il débuta une série de recherche, d'expérimentation et de théorisation de ce sujet qui le fascinait outre mesure, et ceux dans le plus grand secret.
C'est aussi durant cette période qu'il créera ses premières machines, des drones souvent simplistes capable d'effectuer une ou deux tâches, dont les batteries ne tenaient guère longtemps.
28 Themiatis 1887 - Alors que Gustaf supervise les réparations d'une raffinerie arrêtée depuis plus d'une semaine pour une cause indéterminée, dont ni lui ni son équipe ne parviennent à déterminer la cause précise et avancent à tâtons pour ne pas risquer d'incident plus grave, des savants Opalins, sont envoyés en renfort. Après un examen plus que précipité au goût du gobelin, les soit disant renforts débutent des manœuvres pour relancer l'infrastructure. Sûr d'eux, ils n'écoutent aucunement les contre-indications d'un Xandrien simplet, et lance la machinerie.
Les réparations, insuffisantes et ne résolvant pas la cause principale du problème, déclenchèrent une réaction en chaîne entraînant l'explosion des cuves de refroidissement de la brume.
De cet accident, il ne restera que peu de survivant, et les trop rares s'en sortirent gravement blessés. Ce fut notamment le cas pour le gobelin dont les jambes furent brûler, obligeant une amputation.
Néanmoins, la perte de ses membres inférieurs ne furent pas ce qui attisa autant la haine dans son cœur envers Opale et le Myste, mais bien qu'on rejeta toute la faute sur lui et son "incompétence". L'envoie de renfort Opalin fut mis sous silence, ne laissant que Branagh et son équipe comme fautif.
Déshonneur pour sa famille, ne croyant qu'avec difficulté en son innocence, le gobelin parvint à fuir Xandrie de justesse grâce à l'aide d'un fidèle ami, Rikardo, qui lui évita la prison.
Uhr 1887 - En territoire Epistote, les deux gobelins survivent tant bien que mal en mouvant de déchèteries en casses. C'est durant cette période que l'ingénieur fabriquera la première version de ses jambes mécaniques.
Fin 1887 ~ 1890 - Au fil des mois et des années, les dorénavant frères d'armes continuent à voyager à travers l'Epistopoli jusqu'à atteindre les bas-fonds de sa capitale. Durant cette pérégrination, et une fois sur place, ils recruteront d'autres amputés et laissés pour compte. Sir Branagh continuera la création de prothèses, aussi bien pour lui que les personnes l'accompagnant, tout comme d'armes et de machines plus ou moins autonomes.
2 Raphalos 1890 - La bande sans nom, et sans réel but autre que survivre, devient officiellement les Scarabées d'Acier.
1890 ~ 1892 - Si dans un premier temps les Scarabées d'Acier visent un but purement scientifique, dans l'ingénierie des projets fou du savant à leurs têtes, la rancœur de ce dernier organisera un changement de voie. L'envie d'en découdre avec ses bouchers aura continué à murir et consumer le cœur comme l'esprit de Branagh, ainsi, outre la création de ses idées, il vise un but militaire.
Afin de réaliser cet objectif, le capitaine déboursera tous les maigres Astras que la bande aura réunis pour payer des formateurs militaires et acheter, souvent illégalement, les plans de machineries de guerre.
Azoriax 1892 - S'approchant d'un peu trop près de la haute ville afin de se fournir en matériaux, la brigade attire l'attention des forces de l'ordres pour la première fois. Une descente ne tardera pas à se faire, durant laquelle Sir Branagh sacrifiera une partie de ses hommes pour que le gros de la troupe puisse s'échapper.
Cet évènement aura une importance pour les années à venir, outre apprendre au capitaine qu'il était surveillé - ce qui ne fera que s'accroître dans les années à venir - celui lui apprendra surtout à ne pas rester statique. C'est dans ce but qu'il travaillera à l'élaboration d'un engin capable de transporter un atelier, ses troupes, tout en restant apte à se défendre.
Sa première décennie sera calme, enfant curieux, studieux, taquin et créatif, il passera une grande partie de son temps libre à s'intéresser à la mécanique et la physique plutôt qu'à jouer avec les autres gamins. Une habitude provenant sans doute de la moquerie qu'il recevait des autres élèves pour sa condition raciale ainsi que la frustration que d'autres pouvaient ressentir face à son "intellect" précoce.
1870 ~ 1871 - Les parents Branagh rejoignent la guilde des aventuriers et feront partie de la première expédition en territoire brumeux.
21 Uhr 1877 - Grâce à la petite influence de ses parents et ses résultats scolaires plus que positifs, les portes d'une université Opaline lui ouvriront ses portes. Si cette dernière ne faisait pas partie des cinq plus prestigieuses de la glorieuse nation, sa côte n'en était pas mauvaise pour autant.
Ainsi, à l'aube de ses 16 ans, le jeune Gustaf Pieter Branagh débutera une éducation supérieur dans le domaine de l'ingénierie mécanique, de l'étude des anciennes civilisations ainsi que du fonctionnement théorique des cristaux. S'il était destiné par ses parents à suivre leur traces, il bifurqua légèrement de cette voie pour y préférer l'aspect technologique et créative des anciens, plutôt que l'étude de leurs constructions, cultures etcetc...
4 Keladron 1881 - Après quatre brillantes années, il obtient son diplôme et retourne en direction de Xandrie pour mettre à l'usage toutes les connaissances qu'il vient d'emmagasiner.
Si l'on peut croire cet évènement comme bienfaiteur pour la suite de sa vie, se cache en réalité sous cette magnifique surface le début de sa rancœur envers les Opaliens et la noblesse. Vivant tel un reclus le nez dans ses livres, le gobelin ne se fit guère d'ami, ni de réel connaissance durant ces années tant on le moquait et ridiculisait. Certains en vinrent même à détruire l'un des projets notés importants, qu'il parviendra à réparer à l'aide de bricole de dernières minutes.
19 Bahlam 1881 - Pour fêter son diplôme, ses parents lui font intégrer une expédition ayant lieu "non loin" des frontières Xandriennes.
Première expérience sur le terrain, l'expédition se déroulera presque sans accro. Néanmoins, l'innocente candeur de l'ingénieur se brisa sur place alors qu'il se trouvait frustrer de ne parvenir à comprendre aussi facilement qu'il l'aurait cru ces technologies perdues. Lui qui s'imaginer résoudre des énigmes antédiluvienne se retrouva face à une dur réalité, il n'était pas le génie qu'il croyait.
1882 ~ 1887 - La désillusion d'un monde réel froid et sans grande empathie continue à assaillir le jeune idéaliste. Lui qui pensait obtenir un poste important au sein de la société Xandriennes. S'il n'escomptait pas obtenir immédiatement la tête de projets importants, il ne s'attendait pas à ce que son diplôme ne lui ouvre qu'un poste de chef de secteur chargé de l'entretien d'une chaîne de raffinerie de Myste. Surqualifié pour un tel emploi, il finira par accepter le poste, n'ayant d'autres options s'ouvrant à lui. Trop attaché à sa terre natale, ainsi qu'à sa famille, Gustaf refuse de quitter le territoire pour se rendre sur le territoire où il connu les moqueries ou vers l'Epistopoli, dépeinte par les journaux et informations comme un piètre lieu de vie.
Sa carrière n'évoluera que très peu, les possibilités sont maigres et son espoir à déjà déchanté. Le gobelin se contente de cette vie dont les seuls éclats sont les trop rares occasions où il part en expédition avec ses parents. Ces évènements ne se produiront qu'à deux autres reprises et chacune ne fera que renforcer sa frustration autant que son désir irrépressible de percer ces mystères.
Habité par ce désir excessif, il s'offrira un ancien bâtiment désaffecté, d'une taille plus que modeste, afin d'y créer son atelier. Là, il débuta une série de recherche, d'expérimentation et de théorisation de ce sujet qui le fascinait outre mesure, et ceux dans le plus grand secret.
C'est aussi durant cette période qu'il créera ses premières machines, des drones souvent simplistes capable d'effectuer une ou deux tâches, dont les batteries ne tenaient guère longtemps.
28 Themiatis 1887 - Alors que Gustaf supervise les réparations d'une raffinerie arrêtée depuis plus d'une semaine pour une cause indéterminée, dont ni lui ni son équipe ne parviennent à déterminer la cause précise et avancent à tâtons pour ne pas risquer d'incident plus grave, des savants Opalins, sont envoyés en renfort. Après un examen plus que précipité au goût du gobelin, les soit disant renforts débutent des manœuvres pour relancer l'infrastructure. Sûr d'eux, ils n'écoutent aucunement les contre-indications d'un Xandrien simplet, et lance la machinerie.
Les réparations, insuffisantes et ne résolvant pas la cause principale du problème, déclenchèrent une réaction en chaîne entraînant l'explosion des cuves de refroidissement de la brume.
De cet accident, il ne restera que peu de survivant, et les trop rares s'en sortirent gravement blessés. Ce fut notamment le cas pour le gobelin dont les jambes furent brûler, obligeant une amputation.
Néanmoins, la perte de ses membres inférieurs ne furent pas ce qui attisa autant la haine dans son cœur envers Opale et le Myste, mais bien qu'on rejeta toute la faute sur lui et son "incompétence". L'envoie de renfort Opalin fut mis sous silence, ne laissant que Branagh et son équipe comme fautif.
Déshonneur pour sa famille, ne croyant qu'avec difficulté en son innocence, le gobelin parvint à fuir Xandrie de justesse grâce à l'aide d'un fidèle ami, Rikardo, qui lui évita la prison.
Uhr 1887 - En territoire Epistote, les deux gobelins survivent tant bien que mal en mouvant de déchèteries en casses. C'est durant cette période que l'ingénieur fabriquera la première version de ses jambes mécaniques.
Fin 1887 ~ 1890 - Au fil des mois et des années, les dorénavant frères d'armes continuent à voyager à travers l'Epistopoli jusqu'à atteindre les bas-fonds de sa capitale. Durant cette pérégrination, et une fois sur place, ils recruteront d'autres amputés et laissés pour compte. Sir Branagh continuera la création de prothèses, aussi bien pour lui que les personnes l'accompagnant, tout comme d'armes et de machines plus ou moins autonomes.
2 Raphalos 1890 - La bande sans nom, et sans réel but autre que survivre, devient officiellement les Scarabées d'Acier.
1890 ~ 1892 - Si dans un premier temps les Scarabées d'Acier visent un but purement scientifique, dans l'ingénierie des projets fou du savant à leurs têtes, la rancœur de ce dernier organisera un changement de voie. L'envie d'en découdre avec ses bouchers aura continué à murir et consumer le cœur comme l'esprit de Branagh, ainsi, outre la création de ses idées, il vise un but militaire.
Afin de réaliser cet objectif, le capitaine déboursera tous les maigres Astras que la bande aura réunis pour payer des formateurs militaires et acheter, souvent illégalement, les plans de machineries de guerre.
Azoriax 1892 - S'approchant d'un peu trop près de la haute ville afin de se fournir en matériaux, la brigade attire l'attention des forces de l'ordres pour la première fois. Une descente ne tardera pas à se faire, durant laquelle Sir Branagh sacrifiera une partie de ses hommes pour que le gros de la troupe puisse s'échapper.
Cet évènement aura une importance pour les années à venir, outre apprendre au capitaine qu'il était surveillé - ce qui ne fera que s'accroître dans les années à venir - celui lui apprendra surtout à ne pas rester statique. C'est dans ce but qu'il travaillera à l'élaboration d'un engin capable de transporter un atelier, ses troupes, tout en restant apte à se défendre.
Une catchphrase qui vous résume bien / Ceux que vous voulez
Deux mots sur la personne derrière l'écran, ce qu'elle aime et ce qu'elle n'aime pas, ses disponibilités...
Dernière édition par Sir Branagh le Dim 24 Sep - 3:45, édité 15 fois