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Gasoil & huile de vidange.

Gasoil & huile de vidange.  Brandw10
Sam 26 Aoû - 15:40

Sirius Zanetti

Epistopoli / Citoyen

25 / 1876
Amélioré / Masculin
 Entre Xandrie et Opale, dans un chariot.
Hétéro / Il
Ingénieur clandestin / Chef du gang des Ferrailleurs
Feat Shanks de One piece.

Description






- Z’avez pas vu cet homme ? Fait un gars de la garde, tendant un dessin effectué par l’une des machines derniers cris, et un bon dessinateur, montrant un individu recherché par les autorités.

Sur l’affiche, un homme au visage avenant, trois cicatrices déchirant sa peau comme des griffures, au niveau de la paupière droite. Cheveux roux et mi long, rabattus en arrière –surement un truc d’artiste pour montrer son talent, et une chemise blanche. En soit, il ressemblait –outre les cicatrices, à monsieur tout le monde. Voilà ce que répondit l’habitant de la basse ville au représentant de l’ordre,  l’autre insiste, il aurait une prothèse au bras gauche et un exosquelette de dernière génération, le louper, c’était vraiment difficile. Quand le petit gars lui dit que de toute façon, même s’il savait, il dirait rien….L’officier le pris par le col avant de tourna les talons … Un crachat par terre, le pauvre guss n’aimait pas trop qu’on l’asticote avec des histoires de la yaute. Et de toute façon, même si presque toute la basse ville connaissait Sirius, personne n’aurait jamais osé le dénoncer. Pas car il était dangereux et violent, non. Plutôt parce qu’en plus, il était le genre de bon samaritain  donner la patte quand il le fallait, réparer un toit, installer un système de climatisation, redonner le sourire et la joie de vivre aux petits de la ville, ceux qu’on ignorait, les invisibles.

Loin d’être un enfant de chœur, le ferrailleur avait une couverture en béton armé ; Lui, son job, c’était de traiter les déchets et d’en faire des cubes, dans sa casse aménagée aux abords de la ville. Malin, pas vrais ? Le gars en a dans le ciboulot, et il est doué de ses mains. Enfin de sa main.

Lui en reste qu’un … Quoi ? Ah oui, la prothèse, attends l’historie l’ami, tu verras qu’elle est intéressante.
Tout ce que je peux dire d’autre c’est que du haut de son mètre quatre vingt huit, avec ses quatre vingt cinq kilos, on vient rarement lui chercher des noises. Qu’il porte des masques quand il fait ses larcins, qu’il est accrocs à l’adrénaline et aime prendre des risques. Pour le bien commun, pour sa propre conscience, pour honorer la mémoire des anciens … D’ailleurs quand il boit, fait-il déborder une bonne gorgée pour les morts.

La mort fait partie de la vie, l’inverse est vrai aussi. Si on ne pouvait pas mourir, on ne serait pas humain. Même les strigois crève de vieillesse. On serait autre chose, on serait des automates, et la vie n’aurait pas autant de valeur. Voilà le point de vue de Sirius sur la vie, la mort. Non, lui, il n’aime pas voir souffrir les gens, parce que notre passage sur Uhr est si court, qu’on ne peut qu’essayer de l’améliorer, encore et encore.

Alors faisons notre maximum, faisons de notre mieux, un peu plus que la veille, un peu moins que demain.
C’est pas le passé qui va te faire avancer, faut regarder droit devant…  Sur le comptoir de ce bar miteux, et boire la bière qui tiédit la depuis que tu te fais des grands discours dans ta tête, Sirius. Peut être qu’il te faudrait aller chercher quelques stimulants plus … Fort, mais pour le moment, tu tiens trop à ton cerveau et à ses connaissances pour tendre vers une réelle autodestruction.

Habiletés et pouvoirs


Avant tout, Sirius est un petit génie de l’ingénierie, de la mécanique et de la physique, qui a tout apprit en volant ou en consultant des livres à la bibliothèque d’Epistopoli. Il conçoit des objets, en répare d’autre, son savoir semble illimité quand aux technologies, et tout ce qui touche les systèmes robotisés.  Officieusement en tout les cas. Car officiellement, il s’occupe de la casse (un genre de décharge) sur commande de la haute ville, qui n’a plus besoin de ses rebuts.

Il possède donc une habilité à rester discret, poli, courtois, et même à se déguiser.  Entre le Sirius de la décharge, et le chef du gang des ferrailleurs, il existe tout un monde. Il sait négocier, et ses calculs sont d’une justesse à toutes épreuves.
Sirius est un amélioré, le genre qui porte un exosquelette B-83 qu’il a remonté et amélioré lui-même, tout comme sa prothèse de bras (Bras dorsal CAT-11)qui a malheureusement disparu. Il sait également se battre, même s’il n’est pas le pugiliste de l’année, sait il se défendre, et utiliser l’environnement autours de lui.  Sa principale force c’est son imprévisibilité, sa rapidité à réfléchir, et sa mémoire eidétique. Il mémorise le gens, les infos, rien qu’en les regardant une fois, et les assimile à son système de fonctionnement, se réinventant chaque jour, heures et même minutes.

Entre autre amélioration, l'oeil qui a été endommagé à été changée pour lui permettre une vision thermique, rayon X ou bien encore vision nocturne.
. Il dispose également d'une pompe a adrénaline, en cas de coup dur.

Biographie




Le rayon de soleil qui passe a travers la persienne m'éclate la rétine, les yeux encore clos. J'envisage même pas d'ouvrir un œil dans ces conditions, et rabat ma couette sur ma tête d'un mouvement vif, précis. Autours de moi, les cadavres de bières, de bouteille de whisky et une forte odeur de tabac me chatouille les narines. Pas agréable du tout, mais en même temps, ouvrir les volets n'est pas un option viable dont j'ai envie d'effectuer la tâche. Tout ce que je veux c'est dormir tant que mon crâne me donne l'impression d'être un tambour avec lequel un petit singe s'amuse. La cuite de l'année, celle là. Et puis même si j'étais pas tout seul, le sol jonché de verres et de vêtements, m'en disent assez long sur le sujet, et je regrette de ne pas me souvenir avec autant d'exactitude que d'habitude, ma vue et les souvenirs brouillées par l'alcool. La seul boisson capable de vaincre ma mémoire d'éléphant.

D'habitude j'aime bien ça, oublier. Pour un moment, je m'oublie aussi un peu, moi et ma vie obscure ... J'ouvre finalement un oeil, m'habituant à la lumière. Je suis pas chez moi, et ça, ça m'inquiète. Je suis dans un genre d'hôtel, ou un gîte, du cossue quoi, moi qui me contente généralement de dormir en boule dans un matelas défoncé et trop habité pour être agréable. La je sens la texture duveteuse de l'oreiller, et que dire de ses draps de soie ? J'étais dans une merde noire, mon instinct me le dictait, à la manière d'une prof des écoles sévère mais juste. Mon flair ne me trompait que rarement... Et au moment ou je me lève, en caleçon à coeur -j'aurais pu éviter de mettre ça ce soir la quand meme, trois coups sec frappèrent à la porte.

- Une minute.... S'il vous plait ! Que je crie en allant dans la salle de bain, pour me rafraichir au moins un peu, être alerte et tout ça ... Et puis sans préambule, je hurle comme un damné. AAAAAAAH, Bordel de merde, sale chienne ! que je fais en regardant mon bras gauche, absent. Ma prothèse la plus aboutie, celle que j'ai modifiée avec soins, que j'entretiens tous les jours, n'est plus au bout de mon moignon. Je vois rouge, à l'instar de mes cheveux mordus par le feu, je sens une rage violente et presque passionnelle, me brule le peu de bonnes idées que j'aurais pu avoir.

Au moins, mes autres équipements étaient toujours en place, mon oeil oculaire améliorée, récupère d'une expérience "ratée", et que j'avais réussis a réparer, m'indiqua qu'ils étaient trois devant la porte, dont deux vraiment, mais vraiiiiment balaise. Plus que moi.

- Monsieur, avez vous des problèmes ? Nous somme là pour le check out ! Lance ce que je pense être un snobinard, qui trouve son boulot cool parce que son cadre est exceptionnel. T'as vendu ton âme, contre une pièce de dix mètres carrés à côté de la chaufferie? Bravo, félicitation.

Bon aux grands mots, les grands remèdes. J'active la pompe à adrénaline - ce que j'évite autant pour raison financière que de santé, Et tout me parait plus clair, plus lent, plus ... Facile. Déjà, s'échapper d'ici. Secundo, retrouver la fille aux cheveux.... Blonds ? Blancs ? Une petite dame, pas très grande, très avenante, légère comme une plume.... Oui, si la croiserait je me souviendrai de son odeur.

Knock Knock Knock.

- Oui j'arrive ! Fais je en passant mon exosquelette en mode "Urgence", déployant une force colossale, je défonces la porte, le pauvre majordome finit avec le nez cassé, tandis que les deux gorilles, me regardent, interloqué. Pour moi ce moment est un moment d'éternité, comme celui ou l'on voit l'amour de sa vie, et ou tout ce qui semble compter, c'est le présent, minutes par minutes, en goutte à goutte.

Je fauche le premier d'un coup dans le genoux, qui se plie dans un angle peu conventionnel. Le gorille s'effondre en criant, et moi j'entrevois ma porte de sortie. L'escalier ou l'ascenseur? Je choisis les escaliers, sautant d'étage en étage comme un singe avec les branches d'un arbre. Une seule question me taraude, non, deux.

Est-ce que j'ai été assez con pour donner mon vrai nom ?
Et qui était donc cette demoiselle ?

La retrouver sans mon équipement et mon interface allait pas être une partie de plaisir. Mais comme j'entretenais des rapports avec l'un des agents qui surveillaient les rues via des caméras, et il pourrait sans doute m'aider, moyennant argent, ou services. Mais ce n'était pas ce qui m'inquiétait le plus.

La haute et la basse ville ne se mélangent pas. Jamais. Et mon petit tour à l'hôtel tournerait sûrement à la chasse aux sorcières, et j'avais tout, sauf besoin de ça. Bon, soluce numéro une, c'est se planquer dans les bas fond. La ou l'omerta est un consensus entre nous et les habitants. On les aide, et eux ils ferment les yeux. Mon gang, Les Ferrailleurs, n'est pas la pire des organisation criminelle.

Au final on donnait aux pauvres, ce que les riches ne veulent plus, ou n'ont pas réellement le besoin. Entasser autant de matos c'est indécent. Et moi, j'aime pas le gâchis, ni l'étalage de sa richesse par l'accumulation d'objets dont la plupart des détenteurs, ne comprennent pas le quart de l'utilité.

L'adrénaline me lâche et je me sens tout ramolo.

Avant que la garde me tomnbe dessus, je prend la direction du QG, qui n'est pas à mon nom, bien sûr. La casse justifie mes allers retours de la haute à la basse ville, et depuis quand on mettait tout nous oeufs dans le même panier, nous, les "criminels" ? Pour survivre, il faut bien penser deux coup en avance, c'est la seule chose que mon père  m' avait légué, ça, et un jeux d'échecs qui dormaient dans la crasse et la poussière d'un meuble.


Reroll d'Aelis / IL

Toujours pareil !  

Lun 28 Aoû - 17:16

Fer

Ferraille

Bonjour Sirius, je viens pour valider ton reroll !

Petit bandit au grand cœur, ingénieur doué, ferrailleur à ses heures perdus, Sirius a le potentiel d'amener pas mal de situation sympa pour tes futurs RPs. Je n'ai pas grand chose à redire sur ta présentation, on y apprend ce qu'il faut, sans trop s'étaler son son passé, la bio permettant simplement de poser les bases et une situation de base pour enchainer en jeu.

Amuse toi bien avec ton nouveau personnage !

Rang : Citoyen
Pouvoir / Arme : Exosquelette B-83, bras CAT-11, prothèse oculaire.
Affinité : 3 PA
Astra : +200 Astra

La suite logique

Avant d'aller RP, assure toi de bien recenser ton avatar pour que personne ne te le prenne. Si tu ne sais pas avec qui commencer, tu peux toujours faire une recherche de partenaires ou répondre à celles en cours. Accessoirement, tu peux aussi poster ta fiche pour récapituler tes liens, ta chronologie, tes possessions... Enfin, si ton personnage fait partie d'une organisation, n'oublie pas de demander à la rejoindre ou à l'ajouter, si elle n'existe pas encore.