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Ethern - L'Oublié

Ethern - L'Oublié Brandw10
Sam 19 Aoû - 12:10

Ethern

Opale   / Citoyen

1735 ans / 08 Keladron 165
Spectre / Mâle
Lieu de naissance
Osef / il
Mercenaire
Feat "A man in a suit" de ThetaCursed  + Ghost de Artstation + Viking de Zosia x

Description


Physique:
Ethern - L'Oublié 548k
De quel physique dois-je parler ?  Au commencement, j'étais un humain enviable. Grand, beau, musclé, des cheveux blonds d'une longueur affolante et libre de danser au gré du vent. J'étais également particulièrement rompu au combat, chose à laquelle je consacrais tout mon temps. Mais ce corps est mort il y a des temps immémoriaux.

Ethern - L'Oublié I8t8
Voici comment je me rappelle de moi. Voici ma forme la plus utilisée dans toute ma vie. Ma forme de spectre. Un spectre chaotique, tortueux, enchainé à sa Nébula. Un spectre de souffrance, errant dans la Brume.

Ethern - L'Oublié Asmw
Mais voici comment vous me verrez. Verrouillé dans le corps de mon hôte dont j'ai détruit l'âme pour survivre. Bien qu'il ne soit qu'une pauvre âme sans le sous, ou presque. En tant qu'Opalien, je revêts l'apparence d'un jeune homme tout juste trentenaire, à l'apparence soignée et au regard perçant. Des atouts physiques que j'entends utiliser pour trouver ce que je cherche et remplir mes objectifs.

Mental :
Quelques années à errer au sein de la Brume comme tout errant qui se respectent après avoir passé un temps infini à lutter contre sa Nébula est une expérience qui laisse énormément de traces sur la psyché d'un être humain. Y passer presque deux millénaires, comme je l'ai fait, est une expérience que je ne souhaite à personne. Plus de mille ans de solitudes, à parler avec ma Nébula qui n'existe plus depuis longtemps, ou à parler à des gens qui n'existent pas, ça laisse des traces. Ainsi, je souffre mentalement d'une certaine peur de l'isolement, de l'abandon. Mon esprit a combattu ma solitude en me rendant partiellement schizophrène. Ainsi, il m'arrive d'avoir des hallucinations visuelles ou auditives qui sont souvent des fantômes de mon passé ou du passé de mon "hôte".

Cela joue également avec mon comportement envers les autres. Ainsi, il n'est pas rare que les gens me pensent incapable de ressentir une quelconque affection ou d’exprimer mes sentiments. Il m'arrive aussi de marquer un certain un désintérêt pour les autres, me complaisant dans ma solitude. Il faut dire qu'après autant d'années, et autant d'expériences traumatisantes, ma psyché a grandement changé depuis la perte de mon humanité. J'ai également la connaissance de mon époque et vivre avec mille sept cents ans de retard technologiques est à la fois effrayant et perturbant

Habiletés et pouvoirs

Pour les possessions, je n'ai que ce que possédait l'homme dont j'ai pris la place. Une liste de babioles qui pourraient se
résumer à un petit lieu ou vivre et quelques habits.

Cependant, il existe un homme. Un humain travaillant en temps que scientifique haut gradé au Magister et répondant au nom du Dr Forth. Cet homme possède la version Vivifié du pouvoir Spiritisme et s'en est servit pour m'enfermer dans mon corps actuel.
C'est un homme mauvais, cruel et ne reculant devant rien pour assouvir son ambition. Une ambition simple, celle de toujours faire progresser ses recherches scientifiques qui sont, son unique raison de vivre. Cependant, il ignore mon existence, ma survie, et j’ignore qui il est ni ou le trouver.

Biographie

Résumer en quelques lignes ma longue, très longue, "vie" est quelque chose d'illusoire. Mais, dans une optique visant à raccourcir mon récit, je vais vous diviser les pans principaux de ma vie en quatre chapitres distincts. Je vais raconter la vie de l'humain, la déchéance du Portebrume, l'isolation du spectre et enfin, cette nouvelle vie, pleine de torture et de questions qui s'offre à moi, ainsi que mon objectif.

Le héros :
Tout commence en l'an cent soixante-quinze, le 8 Keladron ou ma chère mère bien aimée m'a mise au monde. En ce temps, Opale comme Xandrie en étaient à leurs balbutiements et devaient s'estimer heureux de savoir forger du fer pour leurs outils agricoles en guise de technologie de pointe. En ces temps reculés, il n'y avait pas d'électricité, pas vraiment de "puissance économique" et encore moins de technologie avancée. Avoir un docteur pour un accouchement était déjà un miracle et les conflits se géraient essentiellement à l'épée. La Brume, elle, était déjà là et toute aussi mortelle qu'aujourd'hui.

J'ai eu la chance de grandir dans un hameau libre, au sein d'une communauté comportant de grands guerriers. Idolâtrant les statues des héros peuplant notre village, ce fut bien avant que je m'en rende compte moi-même que je marchais dans leur sillage, mimiquant leurs actions et essayant de sauver le monde autour de moi et bien avant de le réaliser, j'avais ma propre statue parmi celles de mes idoles. Rendant fiers mes parents et rassurant mon village. Je pourrais vous conter mes exploits, mes actions héroïques ou appuyer sur mon altruisme, mais hormis flatter mon égo, cela n'apporterait pas grand-chose et nous n'avons pas le temps de conter en détails mes actions sur autant d'années. Celles-cis pourraient faire l’objet d'une histoire à part, un jour, ou peut-être pas.

Cependant, je me dois de vous narrer une histoire qui me semble essentielle. Une histoire m'ayant profondément changé. L'histoire de L'orpheline de Mispelène, l'histoire d’Évelyne.

Mispelène n'était rien qu'un simple hameau composé de quelques fermiers et marchand de produit de première nécessitée. Une vingtaine de familles, au grand maximum, commerçaient ensemble et cultivaient les terres avoisinantes. Ce hameau était un endroit où il faisait bon vivre, mais également le lieu de retraite d'un des héros dont les statues ornaient les grand-places des villes de mon époque. Ce hameau avait également l'énorme désavantage d'être, sans le savoir, bien trop près de la Brume. Aussi, quand la brume commença à vomir ses Jiangshis, ses aberrations et ses monstres, mutant en son sein, je fus parmi les hommes essayant de repousser les créatures de la brume, mais celle-ci fut malheureusement bien trop forte pour l'empêcher de prendre le hameau.

Fortefoy, car tel était le nom de l'héro souhaitant couler ses derniers jours à Mispelène, disparu au sein de la brume avec un petit groupe de combattants, essayant vainement de trouver la source de ces monstres et espérant la défaire. Il revint quelque temps après, changé et marchant au côté des monstres voulant détruire Mispelène. Mes souvenirs sont flous, mais je me souviens être resté et avoir combattu avec d'autres pour laisser une chance aux villageois de fuir. Je me souviens que Fortefoy m'avait menacé de son épée et je me souviens que notre combat sembla durer une éternité avant que je ne réussisse à vaincre ce vestige de héros avec sa propre épée. Ensuite, les ténèbres m'ont pris tandis que je me sentais tiré vers l'arrière.

Pendant une période que je ne saurais définir, je me souviens avoir dormi avant de me réveiller dans une ruelle d'une Mispelène anéantie. Il n'y avait aucun survivant, hormis moi et… Cette enfant qui me tendait la main.

Ethern - L'Oublié Ajnr
Évelyne

Cette charmante petite tête blonde d'à peine huit années me tendait la main pour m'aider à me relever.  La dévisageant, je ne savais que dire, la voyant seule dans cet océan de désolation. Ce fut, dans toute sa candeur infantile, la jeune fille qui brisa le silence.

Évelyne : Vous allez bien, monsieur ? Vous savez où est mon papa ?


Ethern : Ça va aller, et je ne sais pas, petite.


Évelyne : Vous avez son épée dans la main.


Mon regard se posa sur ma main droite et je pus voir que je serrais encore l'épée de Fortefoy, toujours entachée du sang noir de son ancien propriétaire. Ce fut donc avec un regard plein de tristesse et de culpabilité que je regardais la pauvre enfant, cherchant encore ses parents dans le massacre de Mispelène.

Ethern : Tu es la fille de Fortefoy ? Je suis désolé mon enfant, mais la Brume à emporter ton papa. Tu as trouvé ta maman ? Tu t'appelles comment ?


Évelyne : **secouant la tête et retenant ses larmes ** Ma maman est morte quand je suis née. Et je m'appelle Évelyne.


Ethern : Je suis désolé, mon enfant. Vient avec moi. Nous allons essayer de retrouver un membre de ta famille.


Ce fut ainsi, la veille de l'an cent quatre-vingt-dix, que je pris l'enfant dans mes bras, gardant tout de même cette épée avec moi et lui donnant le nom de son ancien propriétaire. Ce fut ce jour ou Ethern fut connu comme maniant Fortefoy, son épée à double tranchant, et ayant recueilli avec lui Évelyne, une simple enfant ayant vu sa famille lui être arrachée par la Brume. Malheureusement pour elle, Évelyne n'avait plus de famille, mais qu'importe, elle sera désormais ma fille adoptive.

Je ne le savais pas encore, mais je ramenais autre chose qu'une enfant et une épée avec moi, ce jour-là. La Brume et ses créatures m'avaient épargné, car une Nébula avait jeté son dévolu sur moi, Attendant le bon moment pour prendre possession de moi en terrassant mon âme et me faisant passer pour un des leurs.

Le Portebrume :
Me voici donc responsable d'une enfant n'ayant plus de famille. L'enfant même d'un des héros que j'adulais dans ma jeunesse. Fortefoy, mon épée nommée d'après ce héros, siégeait toujours au sein de notre habitation, afin de ne pas l'oublier, lui et ce qu'il représente. Mais, en ces temps troublés, rester si proche de la Brume était dangereux. Bien trop dangereux pour y élever une enfant. Aussi, nous avons migré vers la première grande ville de notre époque. La ville d'Opale. Bien loin de la Mégapole d'aujourd'hui, ce n'était qu'un gros village médiéval en ce temps. La technologie y était surtout agricole et l'enseignement militaire, mais il y avait quelques dispositions visant à protéger la populace contre la brume et c'était là tout ce que je demandais.

Pendant dix ans, nous avions vécu protégé de la brume et en paix. Durant dix ans, ma Nébula me rongea l'esprit dans le but de contrôler mon corps. Évelyne, ayant désormais atteint ses seize ans, était loin d’être stupide et comprenait mon isolation. Peu à peu, les signes révélateurs d'un Portebrumes se faisaient de plus en plus visibles et cela qu'ils soient physiques ou mentaux. Peu à peu, je m'éloignais des autres êtres vivants, voulant leur cacher ma nature. Peu à peu, je m’éloignais de ma fille, d’Évelyne, ayant peur de ce que je pourrais lui faire le jour où la Nébula l'emporterait sur mon esprit.

Ethern - L'Oublié Zup2
Évelyne

Je ne saurais dire précisément à quel moment j'ai cessé de m'occuper de mon enfant et à quel moment elle a commencé à s'occuper de moi, mais je me rappelle bien ce jour maudit de Fanthret de l'an 200. Celui où la Nébula l'a emporté et où j'ai failli commettre l’irréparable.

L'Errant :
Au fur et à mesure que mon esprit sombrait, au fur et à mesure que la Nébula l'emportait, les hallucinations et les illusions se faisaient plus fréquentes, ainsi que les crises de démences. Il était fréquent que je me réveille d'une crise en tenant Fortefoy et en voyant la pièce ou je me trouvais enfermé être ravagée par ma lame. Dans mon esprit, les assauts des créatures de la Brume étaient encore vivaces et mon combat contre elles me semblait bien réel. Dans la réalité, ce furent les meubles qui en pâtirent. Une chaise ressemblante, dans mon esprit malade, à un Jiangshi ou à un Exulo. Celle-ci se devait d’être occis avant que quelqu'un ne soit blessé. Sensible aux signes avant-coureurs d'une crise, Évelyne avait à cœur de m'enfermer seul avant que celle-ci ne se déclenche. Mais celles-ci se faisant de plus en plus fréquentes et de plus en plus imprévisibles, il fut une fois où la pauvre enfant ne put m'enfermer à temps.

Je ne me souviens pas de comment cela avait commencé ce jour-là. Mais je me souviens de comment ça a fini. Une vive douleur dans mon abdomen m'avait ramené à moi et je me voyais, tenant Fortefoy devant une Évelyne assise au sol et au regard terrorisé. Sa main, tendue vers moi, était couverte de mon sang et c'est en baissant la tête vers mon abdomen que je pus voir qu'il s'agissait de mon propre sang, s'échappant abondamment de la plaie générée par le poignard qu’Évelyne venait de m'enfoncer dans le ventre pour se défendre.

La plaie n'était pas mortelle, mais la douleur avait suffi à me faire revenir à moi. C'en était trop et, une fois ma plaie pansée, je profitais de l'absence de ma bienfaitrice pour m'enfuir. Je ne voulais pas risquer encore une fois de la blesser, voir pire, de la tuer et je fus ainsi, un des premiers Portebrume à volontairement rechercher à retourner à la Brume avant même de devenir complétement un Errant.

Ce fut après des jours de marche et des jours à somnoler à l'arrière d'une carriole que j'atteignis enfin la brume. J'errais encore plus longtemps au sein de celle-ci, lui hurlant de me prendre et d'en finir avec ma vie. Mais elle n'en fit rien, les premiers temps. La Brume me prenait pour un des siens, à cause de la Nébula me rongeant les méninges. Il fallut que je m'enfonce profondément dans la brume, jusqu'à un point de non-retour vers la civilisation, et que je cesse de lutter contre ma Nébula pour que la brume me prenne, m'absorbe pour m'inclure dans un tout comme si moi, ou ma Nébula, n'avaient jamais existé.

J'ignore combien de temps, j'ai erré, sans âme, sans esprit, sans conscience. Je sais que cela a duré suffisamment longtemps pour que mon corps tombe en lambeaux et pour que mes lambeaux tombent en poussière, ne laissant de moi qu'un spectre éthéré, cherchant une paix qu'il ne trouvera jamais.

Le Spectre :
De temps en temps, je voyais quelques souvenirs, quelques reliquats de la civilisation et de son évolution. Une expédition après l'autre, au sein de la brume dans laquelle j'errais sans but, je pouvais voir les mercenaires changer. Leurs épées, leurs haches et leurs lances laissaient place à ces bâtons crachant le feu, de plus en plus évolué. Leurs armures de plates, d'un acier irréprochable, laissaient peu à peu place à des armures en résine, en matériaux que je ne connaissais pas, et emprunte de ces lumières étranges et douloureuses. Leurs carrioles aussi changeaient, passant du bois au métal et s'affranchissant doucement du besoin d'être tiré par des chevaux pour avancer.

Leur technologie changeait avec le temps et ils avaient ce qu'il fallait pour nous soumettre. Leur énergie, cette "électricité" avait la capacité nécessaire pour m'atteindre et me paralyser et ce fût malgré moi que je fus emmené dans leur univers de béton et de lumière, prisonnier et emmené dans un des laboratoires de ce qu'ils appelaient le Magister.

Ethern - L'Oublié Gjus
Docteur Forth

Ce fut ici que je fis la rencontre du sadique Dr. Foth. Un scientifique du Magister, un monstre de nature humaine, ce que mes geôliers appelaient un "scientifique". Il semblait comprendre ma nature et voulait expérimenter dessus. Cet homme était ce qui ressemblait le plus à un mage de mon ancien temps. Ce que les miens appelaient alors un nécromancien. Aujourd'hui, j’entends parler de Spiritiste, de scientifique au pouvoir purifié, et de sujets d’expérience.

Je pus le voir, tandis que ce "Docteur" errait proche de mon caisson de confinement, tandis que l’électricité me torturait pour que je me tienne tranquille, l'humain allant servir de sujet d’expérience. Un jeune trentenaire ayant visiblement besoin de devises pour vivre. Ce qui s'ensuivit, je ne m'en souviens que très peu. Tout était noir, j'étais immobile et j'entendais le scientifique hurler à l’échec autour de moi. Je sentis qu'on me portait sans ménagement et qu'on me jetait dehors, à même le sol de pierres froides et humides.

Pendant cette période de convalescence, je sentais mon esprit lutter contre l'esprit légitime de ce corps. Un homme sans ambition, sans volonté et à la vie fade. Une âme peu combative que j'avais absorbée dans un réflexe de survie instinctif. Peu à peu, j'ouvrais les yeux et réapprenait à bouger ce corps qui n'est pas le mien.

Ethern - L'Oublié Ey9q
Evelyne ?

Je me réveille dans une ruelle sombre, sale et humide. Une de ses ruelles aux murs de bétons et couvertes de saleté noire, jeté à même le sol, devant une poubelle parmi les autres déchets. J'ai été jeté dans les bas-quartier d'Opale, ou mon regard s’éveille sur ce nouveau monde de béton et de technologie. Une enfant se tient devant moi, la main tendue vers moi. Cette charmante petite tête blonde d'à peine huit années me tendait la main pour m'aider à me relever.  La dévisageant, je ne savais que dire, la voyant seule dans cet océan de désolation. Ce fut, dans toute sa candeur infantile, la jeune fille qui brisa le silence.

??? : Il ne faut pas rester allongé ici, monsieur. La Garde va vous arrêter sinon.
Ethern : Évelyne ?

La petite se releva et se dirigea vers le bâtiment en face de moi. Une bâtisse nommée "Orphelinarium".
Une catchphrase qui vous résume bien

Un vieux roleplayeur. J'aime écrire et raconter de grandes histoires.



Dernière édition par Ethern le Dim 20 Aoû - 14:53, édité 48 fois
Sam 19 Aoû - 12:41
Bienvenu Ethern!
Bon courage pour la rédaction de ta fiche Ethern - L'Oublié 1f33b
Sam 19 Aoû - 18:45
Merci à toi !
Dim 20 Aoû - 19:57

I ain't afraid of no ghost

Ghostbuster

Héro des temps anciens, sera-t-il le héro des temps modernes ? Retrouvera-t-il son Evelyne si attentionnée ? L'histoire se répète s'accorde à dire les sages. Qu'en sera-t-il de celle de l'éternel Ethern ?
Une écriture fluide et agréable, une présentation claire et sans fioritures. On aime !
Bienvenue dans l'aventure !

Rang : Vagabond
Pouvoir / Arme : Possession (pouvoir raciale)
Affinité : 5 PA
Astra : +200 Astras

La suite logique

Avant d'aller RP, assure toi de bien recenser ton avatar pour que personne ne te le prenne. Si tu ne sais pas avec qui commencer, tu peux toujours faire une recherche de partenaires ou répondre à celles en cours. Accessoirement, tu peux aussi poster ta fiche pour récapituler tes liens, ta chronologie, tes possessions... Enfin, si ton personnage fait partie d'une organisation, n'oublie pas de demander à la rejoindre ou à l'ajouter, si elle n'existe pas encore.