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Evyline To’maxlev-iks

Evyline To’maxlev-iks Brandw10
Mar 18 Oct - 19:20

Evyline To’maxlev-iks

Opale / Noble

32 en apparence / Inconnue
Spectre Mutante / Femme
Inconnu
Glauquosexuelle
Erudite / Chercheuse au Magistère
Delilah (Dishonored)

Description

La grande silhouette svelte s’approche à pas de loup vers le grand miroir disposé au milieu de la pièce, des papiers aux bras. Elle s’assoit sur le fauteuil austère qui fait face à la glace, déboutonne sa chemise et observe son reflet l’espace d’un instant. Puis elle se met à gribouiller.

Journal d’une mort-vivante. Première entrée.

J’ai décidé de mettre sur papier mes observations. Ce n’est pas très sûr. Voir très stupide. Beaucoup de gens posent leurs pensées dans un journal, dont ils dispersent mystérieusement les pages un peu partout. Fort heureusement, je ne compte rien disperser. Ce journal restera en sécurité.

J’ai eu du mal à m’habituer aux normes temporelles du monde des vivants, mais je crois bien que cela fait maintenant un an que j’ai émergé. Je vais considérer cette date comme étant mon anniversaire, dorénavant. Un an pile, c’est une bonne occasion de faire le point.

Ce corps est mort, à un certain point dans le temps, c’est un fait. Les séquelles physiques restent pour l’instant de l’ordre de l’invisible. Ma peau est pâle, trop pour être en bonne santé, mais Evyline l’était déjà avant que son cœur ne cesse de battre. La mort n’en est pas à l’origine. J’ai récemment pu confirmer ce qui était ma principale hypothèse : ce sont ces racines, ces réseaux de toxines à l’apparence proche de veines verdâtres, qui pompent allégrement mon sang pour se nourrir. Un autre héritage de l’Evyline originelle. Si je ne veux pas souffrir d’anémie, je vais devoir rapidement trouver une solution.

Note pour plus tard : du sang extérieur ?


Evyline se lève, pivote sur elle-même, tordant son cou mince pour s’observer sous tout les angles. Elle est fine, maigre diront certains, et ses cheveux d’un noir profond lui retombe sur les épaules. Ainsi nue, elle ressemble à certaines créatures mystiques qu’on dit vivre dans les forêts inexplorées.

J’ai un métabolisme rapide. Impossible de vérifier si c’est un effet de ma possession. Je possède tout ce don mon sang et mon corps a besoin. Mes racines puisent sûrement également dans les nutriments.

Note pour plus tard : désigner ces racines comme étant mon « Tenia de compagnie » pour faire rire le peu de personne disposant d’un bon sens de l’humour (moi).

Elle se rhabille, attache ses cheveux en chignon, et s’approche un peu plus près du miroir. Ses cernes sont comme les vagues d’une mer violacée, qui supporte des petits yeux aussi noirs que la nuit, à la pupille rétractée. Sa bouche, fine, se tord sous la réflexion, en même temps que les traits très marqués de sa mâchoire, et de son visage en général. Elle note.

Sommeil : agité. Impossible de se débarrasser de ces cernes sans user d’artifice. Hier, on m’a dit que j’avais une tête de « cadavre », ce qui m’a beaucoup fait rire. Je rigole beaucoup. Un confrère m’a expliqué que rire était l’un des pilier d’une bonne santé. Je ne rigolais pas beaucoup, pendant mon errance solitaire. Je crois que je rigolais encore moins durant mon ancienne vie, bien que je n’en ai gardé très peu de souvenir. Je devais être quelqu’un de parfaitement ennuyant.

Note : le rire, tout comme mon appétit vorace et mon attrait pour la luxure, ne sont pas des effets secondaires directs de ma possession, mais plutôt le fruit d’une centaine (plus?) d’années passées en tant que damné.

Note : mes expériences pour modifier mon odeur corporel semblent avoir réussies. Je n’ai plus besoin d’acheter de parfum, je sécrète de superbes arômes naturelles grâce à mon Tenia! Pas mal, pour une morte.

Par dessus sa chemise, elle enfile une manteau de fourrure très en vogue en Opale. Aussi élégante qu’un cadavre puisse l’être, Evyline en impose suffisamment pour ne pas faire tâche au milieu des nobles. Sa tenue, travaillée pour, dissimule en grande partie ses racines.

Note : réajuster mon col. Tout le monde n’est pas tolérant vis-à-vis des mutations, à l’extérieur du Magistère. J’ai mis suffisamment longtemps pour adopter le langage et les coutumes locales, je ne voudrais pas être répudiée à cause de ça. Je passe beaucoup de temps à soigner les apparences, mais on n’est jamais trop prudent.

Elle jette un dernier coup d’œil à son reflet, souffle, puis sort de la pièce d’une démarche sûre et élégante, ses talons frappant le sol à chacun de ses pas. A son bureau, elle gribouille une dernière fois.

Conclusion : ce corps ne va pas trop mal. Je ne vais pas trop mal. Bonheur, en ce jour et à cette heure : estimé à neuf sur dix. L’euphorie des premières semaines a commencé à s’estomper mais ne m’a pas encore quittée. Tant de chose à faire, tant de chose à voir, à comprendre, à expérimenter. Ce corps est mon unique vaisseau, et je dois composer avec, en prendre le plus grand soin. Je ne saurais dire si je serai capable d’en changer. Je ne préfère pas essayer. Je m’y suis habitué, adapté, merci Evyline. Tes yeux me permettent de voir, véritablement voir, je peux communiquer, échanger, toucher, être touchée, je peins avec tes mains, j’écoute ces douces mélodies grâce à tes oreilles, c’est un magnifique cadeau que tu m’as fait. J’espère pouvoir te rendre la pareille, un jour. Toi non plus, tu n’as pas eu la vie facile, alors si tu es encore là, quelque part, si comme moi tu as pu échapper à l’étreinte de la Mort, la vraie, la mort totale, et bien, profite. Parce que je compte bien profiter de chaque seconde. On va en voir, des choses, toi et moi !

Habiletés et pouvoirs

De part sa nature de spectre, Evyline est supposément capable de prendre possession d’un corps, humanoïde ou animal. L’ayant déjà fait une fois et n’ayant toujours pas quitté ce corps, elle serait bien incapable de déterminer si il lui serait toujours possible de profiter de ce don. Elle suppose tout de même pouvoir garder son corps actuel à flot pendant très, très longtemps.

Son corps actuel ayant subis de nombreuses mutations liées aux plantes lors de sa précédente vie, Evyline est capable de transformer son corps en plante, et d’utiliser leurs propriétés à son aise. Cependant, elle doit pour cela nourrir les racines qui la parcourent tel des veines d’un sang extérieur, afin d’éviter que ses mutations ne se nourrissent du sien et ne provoque d’affreux effets secondaires.

Biographie

« J’ai appris à peindre pour une seule et unique raison. J’ai une image en tête. Une scène, plutôt. Une sorte d’obsession. Je suis obsédée. Vous comprenez ? Ce mois-ci, j’ai peint trente-cinq versions de cette vision. Quand je ferme les yeux, c’est cette espèce de scène de théâtre figée que je vois, quand je dors, j’en rêve, et quand je dors mal, j’en cauchemarde que je l’oublie. J’y pense en me réveillant, en allant au lit, en mangeant. Dès que je laisse une seconde de repos à mon pauvre cerveau, j’y pense. C’est fatiguant, vous savez ?
- … Je ne comprends pas bien le rapport, Madame.
- Eh bien, le tableau que vous voulez m’acheter, c’est la version 23. De ce mois-ci. 373Ème depuis que j’ai commencé à peindre. Un essai particulier.
- Ah bon ?
- Particulièrement proche de ce que j’ai en tête.
- Ce qui vous obsède, c’est une machine à écrire ?
- Entre autre. Pour celle-ci, j’ai décidé de me focaliser sur le bureau. C’est toujours le même dont je rêve. Même les papiers, sur le côté, ne bougent pas. Le même nombre de mégot dans le cendrier, de pages froissées dans la poubelle. C’est très important !
- J’imagine… Et la version d’après ?
- Ohlala, venez, je vais vous montrer, mais par pitié, ne soyez pas trop critique. C’est un ratage complet. J’ai voulu donner une impression d’ensemble, globale. Voilà…
- Madame ?
- Oui ?
- C’est affreux. Beau, mais affreux.
- Hmhm.
- Tant de violence ! Vous qui êtes pourtant si élégante. C’est quoi, cette forme dans le brouillard, au fond ? On dirait un visage… Non, deux ?
- Je crois que c’est ce qui est à l’origine de toute cette… violence.
- Vous voulez dire… Ce sang ?
- Par exemple.
- Excusez-moi, mais, qu’est-ce que ça représente, déjà ?
- Eh bien, je crois que ça représente ma mort ! »

*

Ceci est l’histoire de la mort d’Evyline.

Evyline n’avait comme unique possession que son nom. Elle était Evyline. Rien d’autre, personne d’autre. Pas « Expérience n°214 ». Elle s’y raccrochait comme une damnée, Evyline avait un passé, une famille probablement, un futur, même. Evyline était destinée à de grandes choses, et moisir dans une cellule humide n’en était pas une.

Elle avait réussi à s’acclimater à la douleur, en faisant presque une compagne, une présence amicale là pour lui rappeler qu’elle n’était pas encore tout à fait morte. L’odeur ne la gênait plus non plus, cet espèce de mélange de vomi, et de putréfaction. En revanche, cet homme, ce masque, elle ne s’y était jamais fait. Chacune de ses apparitions était synonyme de frissons, d’effroi, de cauchemar. Elle ne l’avait vu, véritablement vu, qu’une seule fois, au début de toutes ces expérimentations sur elle. Il avait retiré son masque comme dans un geste se voulant rassurant. « Tu vas être magnifique ! ». Le visage tuméfié, ridé, tiré par un rictus affreux, de son geôlier était gravé à tout jamais dans sa cervelle.

Elle avait passé des mois ici, peut-être même des années. Son corps avait été mutilé, transformé, son sang modifié, ses cheveux arrachés, repoussés, tombés de nouveau. Peu importe. Le temps a des effets néfastes pour tout le monde, y comprit pour son ravisseur. Il s’était ramolli, avec le temps. Evyline ne se débattait plus depuis longtemps. Il ne prenait plus autant de précaution, accordait plutôt son attention aux nouveaux cobayes. Suffisamment inintéressante, Evyline était tombée dans un coin reculé de la mémoire de ce fou furieux.

C’était maintenant ou jamais. Ce jour-là, Evyline s’échappa.

*

Ceci est l’histoire de la naissance d’Evyline.

Il n’avait comme unique possession que ce nom. To’maxlev-iks. Ce n’était peut-être pas le sien. Peut-être même que ce mot étrange n’avait absolument rien à voir avec lui. Mais il s’en souvenait, et c’était le principal. Dans ses rêves, toujours le même, tout était figé. La scène était immobile, la tasse de café renversée tombait à l’infini, sans jamais heurter le sol. Mais il pouvait entendre ce nom, en boucle, comme un murmure dans le vent. Pourquoi rien ne se passait, dans son rêve ? Peut-être que les morts ne pouvaient simplement pas rêver, et que cette image gravée dans sa rétine était une toute autre chose. Une peinture d’un autre temps. Quand on ère depuis tant d’années, le temps prend une tout autre dimension. Parfois, quand il se concentrait suffisamment, le temps se rétractait, il se replongeait dans son passé l’espace d’une nano seconde, comme projeté dans une ancienne vie. Il se souvient avoir beaucoup prié. Plus rien ne le rattachait au monde terrestre, dorénavant, mais il se souvient nettement de la sensation de la pierre froide sur ses mains. Il se souvenait des murmures, d’une langue qu’il n’entendit plus jamais après ça, de sculptures, de textes indéchiffrables. Il se souvenait d’un temple, sa maison, partant en fumée. D’hommes en armure le saisissant, et le balançant vers… Ce qu’il s’était passé après ça, il n’en garda que son rêve, et ce qu’il se passa ensuite, et bien…

Soixante-huit fois.  To’maxlev-iks avait perdu toute notion du temps, aussi se raccrochait-il à ce qu’il pouvait. En l’occurrence, cet ancien temple qu’il avait vu évoluer au fil de ses errances. Il s’en servait comme point de repère. Son unique point de repère, à vrai dire. Sa conscience s’effondrait souvent, pendant de longues années, où son esprit virevoltait lentement à travers le monde, et il se réveillait toujours devant cet endroit. Aujourd’hui laboratoire immense, hier temple, demain peut-être université. Soixante-huit fois, il prit le temps de retenir ce nombre. La prochaine fois, ça fera soixante-neuf. Combien de temps se sera-t-il écoulé à ce moment là ? Il flotta ainsi pendant quelque temps, sans se rendre compte que le jeune garçon qui se tenait près de lui sans le voir et qui comme lui observait avec attention l’édifice face à lui, avait eu le temps de grandir, de devenir père, de sombrer dans la dépression et l’alcool, de mourir. La seule chose qui parvint à le sortir de sa torpeur fut cette femme. Elle avait déboulée en titubant d’une des ruelles aux alentours. Elle était mourante.  To’maxlev-iks avait vu des tas de gens mourir. Des générations, même. Aucune mort ne l’avait touché depuis la sienne. Mais elle, elle le voyait. Elle le regardait, là ou il possédait des yeux de son vivant. Elle s’était arrêtée net, devant lui. Personne ne l’avait jamais vu.

« Vous… Qui… »

To’maxlev-iks se concentra sur elle. On lui parlait. Si on lui parlait, ça voulait dire qu’il existait encore. Il voulut ouvrir la bouche qu’il n’avait plus, produire un son. Il dût se contenter de concentrer le peu d’énergie qui lui restait sur cette femme mourante.

« Aaah, te voilà ! Tu m’as fait peur, tu sais. Je m’en serais voulu de te perdre. Chaque expérience compte !»

C’était une autre voix. Une voix d’homme, rauque. La femme n’y prêta nullement attention.

Je m’appelle To’maxlev-iks, pensa-t-il. Il ne pensait pas souvent, ces temps-ci, aussi l’effort qu’il dut produire le vaporisa presque.

« Evyline, » répondit-t-elle simplement.

Elle perdit connaissance presque aussitôt, tandis que To’maxlev-iks récupérait la sienne. Il existait. On l’avait vu. On lui avait même adressé la parole ! Il aurait bien voulu rire. On venait de le raccrocher à ce monde dont il avait cessé de faire parti intégrante depuis longtemps déjà. Elle avait refait jaillir en lui un sentiment qui s’était échappé à sa mort, lors de son voyage forcé à travers la Brume.

« Raaah merde ! Venez m’aider, les gars, faut pas qu’on nous voit.
- Caput’, chef. Elle a avalé un truc.
- J’aurai jamais du laisser traîner ça au labo… Couvrez là avec quelque chose, on l’amène dans la fosse. »

*

Elle bougea d’abord un doigt. Puis un deuxième, puis la main. Elle ne rouvrit pas les yeux immédiatement, car elle avait peur de voir. Le soleil lui brûlerai-t-il la rétine ? Est-ce qu’elle était encore capable de voir ? De ressentir, pour de vrai ? Le vent qui lui caressait la peau lui indiquait que oui. Alors elle consentit à ouvrir un œil. Elle ne vit tout d’abord qu’une large trace grisâtre, qui se dissipât en même temps que son cœur redémarrait correctement. Pas de doute, elle était bien morte. To’maxlev-iks avait hésité durant de longues secondes, en suivant ses ravisseurs qui lâchèrent son corps dans une sorte de fosse commune à peine camouflée, dans les abords de la ville. Dans cet état, les secondes pouvaient sembler des siècles, ce qui s’était avéré utile pour la toute première fois, car la décision qu’il avait prise n’avait rien de léger. Il avait de nouveau les pieds sur terre. Le temps allait de nouveau s’abattre sur lui. Et il ne pouvait pas en être plus heureux.

Evyline rampa dans la boue, au milieu d’autres cadavres en décomposition, jusqu’à se hisser hors de sa tombe.

*

« Venez ! J’en ai un dernier à vous montrer. Je suis prête à parier que vous allez payer très cher pour celui-là !
- Allons bon, ma chère ! Une autre représentation de votre rêve ?
- Tout à fait ! Je n’ai jamais rien peint d’autre. C’est l’essai numéro sept. Je n’étais pas encore très dégourdie à l’époque, ne faites pas attention à la technique. Admirez.
- Peu importe la technique, Madame, celui-là est magnifique. Qui aurait pu croire qu’une tête éminente du Magistère soit si douée pour les arts ! C’est le fantôme de votre rêve ?
- Tout à fait. C’est la chose qui m’a tué, jadis.
- Jadis ? Madame, rêver de sa mort n’est pas si rare, vous savez. Selon les croyances, ça peut même vouloir dire beaucoup de chose, mais de là à y voir un souvenir…
- Cette toile est plus qu’un rêve, à vrai dire. C’est pour ça que cette pièce est si unique ! J’y ai associé une autre image. Inconsciemment, je crois. Evyline se souvient très bien de ce visage, observez.
- C’est…
- Oui ! Vous avez l’œil. Ma théorie des couleurs n’était pas encore très au point, mais oui ! C’est vous. Vous avez changé, mais pas autant qu'Evyline ! C'est ce rictus ! Je l’ai reconnu du premier coup d’œil. Evyline n’a pas gardé un très bon souvenir de vous, vous savez. Je ne saurai dire si c’est un fragment de son existence qui parasite mon esprit ou si c’est juste ma culpabilité d’utiliser son corps ainsi qui me torture, mais vous faites partie de mon rêve maintenant. Et je n’aime franchement pas ça. Vous n’avez rien à y faire. Je vais faire ça vite, et proprement, ne vous inquiétez pas ! Mes plantes ont déjà commencé à endormir vos sens. Un de vos cadeaux, d’ailleurs. Les mutations sont restées après sa mort. Vous ne sentirez rien. Contrairement à vous, je n’apprécie pas particulièrement torturer mes sujets. Attendez, revenez ! Je tiens à faire ça vite, bien, et surtout discrètement. Vous avez idée d’à quel point ça a été dur d’en arriver là ? De sortir à quatre pattes de la terre, de manger, de voler pour manger, de faire mes preuves ? Allons, ne faites pas cette tête ! La mort n’a rien d’effrayant vous savez, c’est même terriblement ennuyant si vous voulez mon avis. »
Je pense que je vais reroll

Tormog. Inactif. Double-compte. Encore plus inactif !



Dernière édition par Evyline le Mar 18 Oct - 22:47, édité 4 fois
Mar 18 Oct - 19:27
iiiih Delilah !! Evyline To’maxlev-iks 1f648 *fangirlise*

J'aime beaucoup ce qui est déjà là, ce dialogue est très intriguant ! (et un peu flippant aussi, et j'adore le concept de repeindre la même scène)

Curieuse de voir la suite !
Mar 18 Oct - 20:56
Je sens venir un personnage complètement barré que je vais suivre en riant...
Sinon, glauquosexuelle, qu'est-ce que c'est ? Ça se mange ?
La suite, la suite !
Mar 18 Oct - 22:20
Il y a une ambiance très sympathique, à base de mystère et d'excentricité.
Pour le moment, j'ai l'impression que c'est un personnage qui ne va pas se prendre trop au sérieux, et qui risque d'avoir des réactions déroutantes et captivantes vis-à-vis de ce qui lui arrive.

Je ne sais pas encore si c'est une direction que tu vas conserver post-possession, mais si c'est le cas, peut-être qu'on se trouvera quelques atomes crochus ! /o/

Bon reroll à toi !
Mar 18 Oct - 22:43
Vous êtes bien gentil.les les copains copines. Je sais pas ou je vais, mais j'y vais, et je fini demain !
Mer 19 Oct - 17:30

Wow la belle plante

Le Rire est mon combat....

C'est mystique et mélancolique ! To'maxlev et Evelyn ont chacun traversé des sorts atroces, exposés avec poésie et subtilité, et malgré tout, le rire essaye timidement de revenir désamorcer le drame. Le rire fait ce qu'il peut mais c'est trop tard car on est déjà tous très tristes pour ces deux âmes en peine, et te connaissant je me doute qu'elles ne trouveront jamais la paix...

Perso intéressant servi sur son plateau de style badant. C'était très agréable à lire, très bien écrit, mais voilà ça m'a rendu triste (pour toujours), eh bah oui tant pis.

Rang : Noble
Pouvoir / Arme :  Elementaire (plante (mutant (spectre)))...
Affinité : 4 PA
Astra : +200 Astra

La suite logique

Avant d'aller RP, assure toi de bien recenser ton avatar pour que personne ne te le prenne. Si tu ne sais pas avec qui commencer, tu peux toujours faire une recherche de partenaires ou répondre à celles en cours. Accessoirement, tu peux aussi poster ta fiche pour récapituler tes liens, ta chronologie, tes possessions...