Mar 29 Aoû - 19:18
La vérité, je ne sais pas trop comment c'est arrivé. Moi, les mains pleines de sang, ma tenue blanche rougie par l'hémoglobine. Le principal, c'est que c'est pas le mien. Un gars s'accroche à ma seule chemise potable et la déchire en s'effondrant.
Remontons le temps, il y'a une heure environs. Je suis partis dans le quartier le plus malfamé et le plus raciste envers les autres races qu'humaine pour y distribuer un peu de mon talent à une vieille amie. Comprenez qu'elle est agée. Et j'ai du changer deux ampoules alors c'est assez désabusé que je passe devant le "Stan's and Son", un bar typique du quartier, avec des vehicules garés devant, et une clientèle portant le cuir et les écussons des "pro-humains". Et puis là, je la vois. Elle est belle, bien trop belle. Et puis elle a cette folie dans le regard, ce regard opale comme le miens est bleu océan. Je comprends tout de suite qu'il faut que j'aille lui parler.
Ne prenez pas ce fait pour une vaine tentative d'engager la conversation avec une jolie fille. Je suis seul, mais je crève pas la faim. J'ai une casse ; Mais j'ai rien d'un chien de la casse. Non, mais reconnaissant une strigoi qui discutait avec la seule personne ne la regardant pas de travers -le barman et tenancier, je me suis dis d'abords "Non, laisse la se débrouiller c'est pas tes histoires...." puis j'avais vu le barman rigoler, l'air de rien, prenant les Astras qu'elle lui donna en commandant un nouveau verre.
Une ombrelle dans le cocktail, les autres loubards ont tilté qu'elle est pas du coin, et commence déjà à s'approcher. Puis l'odeur de sang, les yeux et la peau blafarde les firent s'approchèrent encore plus...
- Alors ma jolie, t'es loins de chez toi ... Commença le plus fort et le plus gros de tout ses énergumènes. J'arrivais comme un cheveux sur la soupe. Je me glissa entre les bedaines en m'excusant "Pardon, j'ai de grosses fesses" ... Fis je en la rejoignant dans cette galère, je l'embrassais sur la bouche, avant de me rasseoir sur le banc, m'excusant toujours auprès de nos "chaperons" pour me glisser sur la chaise ...
- Comment va ma douce ? Tu me commande un sex on the beach, je suis ép-ui-sé. Que je lança comme ça, comme si de rien était.
Mine de rien, les salopards avaient reculé et semblaient se concerter dans un coin de la pièce.
Remontons le temps, il y'a une heure environs. Je suis partis dans le quartier le plus malfamé et le plus raciste envers les autres races qu'humaine pour y distribuer un peu de mon talent à une vieille amie. Comprenez qu'elle est agée. Et j'ai du changer deux ampoules alors c'est assez désabusé que je passe devant le "Stan's and Son", un bar typique du quartier, avec des vehicules garés devant, et une clientèle portant le cuir et les écussons des "pro-humains". Et puis là, je la vois. Elle est belle, bien trop belle. Et puis elle a cette folie dans le regard, ce regard opale comme le miens est bleu océan. Je comprends tout de suite qu'il faut que j'aille lui parler.
Ne prenez pas ce fait pour une vaine tentative d'engager la conversation avec une jolie fille. Je suis seul, mais je crève pas la faim. J'ai une casse ; Mais j'ai rien d'un chien de la casse. Non, mais reconnaissant une strigoi qui discutait avec la seule personne ne la regardant pas de travers -le barman et tenancier, je me suis dis d'abords "Non, laisse la se débrouiller c'est pas tes histoires...." puis j'avais vu le barman rigoler, l'air de rien, prenant les Astras qu'elle lui donna en commandant un nouveau verre.
Une ombrelle dans le cocktail, les autres loubards ont tilté qu'elle est pas du coin, et commence déjà à s'approcher. Puis l'odeur de sang, les yeux et la peau blafarde les firent s'approchèrent encore plus...
- Alors ma jolie, t'es loins de chez toi ... Commença le plus fort et le plus gros de tout ses énergumènes. J'arrivais comme un cheveux sur la soupe. Je me glissa entre les bedaines en m'excusant "Pardon, j'ai de grosses fesses" ... Fis je en la rejoignant dans cette galère, je l'embrassais sur la bouche, avant de me rasseoir sur le banc, m'excusant toujours auprès de nos "chaperons" pour me glisser sur la chaise ...
- Comment va ma douce ? Tu me commande un sex on the beach, je suis ép-ui-sé. Que je lança comme ça, comme si de rien était.
Mine de rien, les salopards avaient reculé et semblaient se concerter dans un coin de la pièce.