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Opale

Opale Brandw10
Jeu 13 Oct - 0:27

Illiana /  Indisponible

Comme nombre de ses congénères, Illiana est née dans les ombres complices d’un laboratoire épistote. Peut-être en vérité a-t-elle été engendrée ailleurs, et peut-être même a-t-elle émergée d’une matrice maternelle, tenue, même brièvement, par des bras aimants. Mais ses premiers souvenirs sont ceux d’une cuve épaisse pleine d’un liquide amniotique tiède et gluant, dans lequel son corps flottait paresseusement. Au-delà des frontières de celle-ci, elle pouvait distinguer d’autres personnes. Comme elle, elles étaient reliées au système maternel dans lequel elles incubaient par un gigantesque tuyau, qui s’immisçait dans sa bouche et contre lequel raclait ses dents. Comme elle, tous eurent rapidement à craindre l’arrivée de leurs géniteurs. Des scientifiques aux visages distants et froids, armés de stylos métalliques qui attrapaient lorsqu’ils griffonnaient des notes la lumière aseptisée de l’endroit avec des appétits voraces.

Parfois, ils écrivaient plus rapidement et plus longuement, et leurs fronts se paraient de rides pensives. Parfois, ils mâchonnaient les stylos, ou les tapaient contre les montures élégantes de leurs lunettes. Cela voulait souvent dire qu’une des expériences devait disparaître. Qu’elle ne produisait pas de résultats corrects.

Illiana (c’était le nom qui lui avait été donné), appris rapidement à ne pas décevoir. Si on lui demandait de prouver que ses capacités mentales n’avaient pas été ravagées en lui intimant l’ordre d’apprendre par cœur un texte, elle s’assurait de pouvoir le réciter sans la moindre hésitation. Si on lui demandait de courir plusieurs kilomètres pour démontrer la capacité de ses poumons, elle s’assurait que sa course soit rapide. Mue par un instinct de survie supérieur, et par la volonté honteuse de plaire à ses geôliers – qui constituaient le seul contact humain auquel elle pouvait prétendre, hors du spectacle macabre et statique des autres captifs qui flottaient dans leurs cuves, ou qui en étaient sortis pour aller se plier à elle ne savait quel exercice – elle s’attacha à exceller. Et elle grandit.

D’enfant timide, elle devint une adolescente appliquée. Et puis, elle comprit, enfin, autant à rassembler les fragments de son éducation qu’en déchiffrant les conversations des êtres qui l’entouraient, qu’il existait au-delà des frontières de sa prison un monde. Le résultat fut rapide. On retrouva quelques jours plus tard les restes du laboratoire clandestins. Ce dernier, bien que ne conduisant en soi aucune opération qui ne puisse être approuvée par le Grand Sapiarque, s’était tenu à l’écart des projecteurs, afin que ses produits échappent à tout contrôle, et puissent être utilisés pour favoriser les ambitions de son riche mécène. Pour Illiana, ce fut une chance. Celle de fuir, et de profiter du chaos qui dévorait l’entreprise de ses tortionnaires à la suite de cet incident et de l’attention qu’il avait attiré sur eux. Celle de chercher une nouvelle vie, et de se rendre rapidement compte que leur influence s’exerçait toujours sur elle. Son apparence la marquait irrémédiablement comme une paria. Ses dons, comme un danger. Jusqu’à ce que son propre mécène l’invite à son tour. Ses rêves seraient réalisés. Sa vie ne serait pas gâchée. Elle ne le croyait qu’à moitié, mais c’était pour elle le seul moyen d’obtenir le collier qui servait de passe-droit aux marginaux de son espèce. En échange, elle n’avait qu’à lui fournir un peu de ses productions. Le procédé lui rappelait certes la façon de faire des scientifiques, mais se faisait avec respect et raison.

Elle s’est attachée depuis lors à tenter de contrôler la mutation qui accable son quotidien. Les toxines produites par son corps varient selon son état mental : seul un état de calme aussi proche de la neutralité émotionnelle que possible permet de les neutraliser. Elle médite donc quotidiennement, et s’absorbe dans l’étude de l’art alchimique. Les résultats sont pour le moment partiels. Le contact avec autrui lui est souvent difficile, car malgré ses efforts sa vie passée a laissé en elle des traces lourdes et permanentes. Elle se révèle extrêmement méfiante, et n’accorde que difficilement sa confiance. C’est sans grande surprise donc qu’elle évitera autant que possible le contact physique.

Si elle ambitionne de trouver un moyen de totalement se libérer de ses chaînes, que ce soit du traumatisme et de ses effets sur sa psyché, dont elle a parfaitement conscience, ou bien du handicap que représente le poison qui la recouvre intégralement, elle nourrit également autre chose, qu’elle n’a jamais révélé à personne. Elle voudrait chanter. La musique, de manière générale, est la seule chose qu’elle apprécie réellement dans ce monde. C’est un moyen de se lier aux autres malgré sa condition, de créer quelque chose de beau sans que son physique n’entre en compte. Et si sa voix est naturellement belle et cristalline, capable de gonfler autant comme une tempête grondante que de se faire légère comme le chant d’un oiseau, elle a là encore une autre difficulté à surmonter. Sa voix ne lui obéit pas, et plus elle tente de la contrôler, plus elle est difficile à maîtriser. Elle cabre comme un cheval qui refuse la bride, varie en intensité et en ton, sans qu’Illiana ne puisse rien y faire.

Monstrueuse. Discordante. Toxique. Les monstres de la ville de demain ont pour elle de nombreux comptes à rendre, au vu de l’horreur de son existence. Elle tente souvent de ne pas y penser, cette idée l’emplissant d’une rage froide et cannibale. Mais elle ne sait pas si elle parviendra réellement à exorciser ce désir de vengeance et de justice autrement que par l’action la plus directe.
20 ans / 1879
Mutante / Féminin
Epistopoli
Libre
Citoyenne / Alchimiste
OC par Kevin Glint sur Artstation
Pouvoirs
Alchimie : permet de créer des potions et toxines.
Les sécrétions de la mutante, de sa salive au mucus qui remplace pour garder sa peau fraiche et humide sa transpiration, sont naturellement toxiques. Les effets de ces derniers sont variés, et dépendent grandement de son humeur du moment. La colère les rendra capable de provoquer de grandes douleurs, la peur leur conférera un effet paralysant, la joie des propriétés rappelant celle de l’ébriété, et ainsi de suite. S’il est possible pour la mutante de nullifier, au moins temporairement, ces effets négatifs, cela lui demande une concentration constante et un contrôle continu de ses émotions. Illiana a utilisé sa liberté fraichement recouvrée pour s’initier à l’art alchimique de manière plus classique, et est capable de produire certaines décoctions.
Voix magnifique
Froide
Hait Epistopoli
Excellente nageuse
Méfiante
Tlaxlheel Azcalxotil / Garant

Tlaxlheel est à la fois le garant et le mécène de la créature. S’étant assurée que son passé ne reviendrait pas la gêner, il refuse malgré tout de lui expliquer comment il s’y est pris, balayant ses questions d’un revers amusé de la main. Il ne demande au final presque rien de la mutante, si ce n’est qu’elle lui fournisse de temps en temps quelques poisons ou décoctions. Bien qu’il semble sincèrement soucieux de son bien-être, et vouloir l’aider à s’émanciper, sa réputation et les quelques fois où elle l’a vu agir font qu’Illiana reste circonspecte quant à ses intentions réelles. Plus que cela, elle reste foncièrement dépendante de lui, son statut de mutante la condamnant sans sa présence à un sort peu enviable. Elle doit malgré cela reconnaître qu'il n'a jamais été rien d'autre que bienveillant à son égard, et qu'il ne semble aucunement dégouté par son apparence, ou apitoyé par son histoire.



Dernière édition par Uhr le Jeu 13 Oct - 1:09, édité 1 fois
Lun 31 Oct - 19:47

Théodosia Del Astra / Disponible

- Famille Del Astra, l'apogée : Fortune originairement issue de l'exploitation minière de l'île aux dragons – Principale source d'approvisionnement en métaux précieux et en joyaux durant des générations à travers Urh – A su opter pour un virage technologique dés le début de la conjoncture favorable et investi considérablement pour son développement dans la Cité – Pourvoyeuse de prothèses et d'implants essentiellement esthétiques faisant fureur dans certaines communautés opalines

- Théodosia, de la trésorerie à la ruine :
1865 – Première Née, mais Zoanthrope, sans être reniée, elle perd les droits qu'auraient du lui conférer sa primauté (ni droit de succession sur les propriétés, ni prétention à la place de chef de famille) Officiellement, elle abandonnera par elle même ses droits. Elle est tenue toute sa vie à l'excellence. Une étiquette parfaite, une repartie assaillante ou obséquieuse, l'absorption des rudiments d'économies nécessaire à l'illusion : Son bagage pour survivre à la vie mondaine. Le plus long et douloureux restera la domestication de son sciuridé intérieur qu'elle ne devait laisser personne ne serait-ce que supposer.
1886 – Poussée à la trésorerie du conseil par  ses parents dans un but purement spéculatif, s'en servir comme d'une dot afin de faire coup double : marier leur zoan de fille et tenir un gendre serviable à une place de choix, le tout en récupérant au passage une contrepartie en avoir.
1891 – Malgré toutes ses tentatives de faire durer les négociations ou d'éconduire purement les prétendants, elle finit par perdre sa place au conseil à la faveur de son mari (un gendre à la présentation si parfaite qu'elle ne put rien faire) qui se révélera bien moins manipulable que prévu par les Del Astra. Leur relation, tendue dans l'ensemble, ne lui laisse pas que de bon souvenir.
1897 – Le nouveau trésorier entérine sa place au conseil. Agissant adroitement, bien plus préparé qu'il n'aurait été possible de le prévoir, il fait main basse sur une part non-négligeable des actifs de la famille qui épuise le reste de sa fortune en frais de justice, aussi vainement qu'il en avait été pour leurs concurrents commerciaux… Conduisant au déclin d'une des sept familles d'Opale. La première de la liste ?

- Théodosia, le rêve sans le pouvoir :
Matriarche des Del Astra : Elle hérite finalement de la tête de la famille suite au suicide de l'héritier et d'un accident ayant coûté la vie aux deux parents. De l'ancien pouvoir des Del Astra ne reste que le vernis ornemental et des dettes. Théodosia s'est jurée de redorer le blason familial. Même morts, elle leur prouvera leur erreur de l'avoir écarté de la scène des affaires familiales. Actuellement piégée dans un rôle de potiche, elle ne peut compter que sur son pouvoir longtemps répugné, toujours tenu secret, afin de s'échapper des regards et d'orchestrer, dans l'ombre, sa vendetta.
Propriétaire de la bijouterie « Les Joyaux » : Commerce le plus ancestral de la famille, laissé par son mari en maigre compensation dans un geste plus dédaigneux qu'empathique, juste en maintient d'apparence pour la bonne société opaline. On  peut y trouver tout qui faisait autrefois la grandeur des Del Astra ; Gemmes en tout genre, brutes ou taillés, aux carats indénombrables et même le petit poste de soudeur pour les implants esthétiques. Seul changement, le bénéficiaire de la vente de leurs anciennes exploitations minières.
35 ans / Le 30 juillet
Zoanthrope / Féminin
Opale
Au choix / Elle
Dirigeante / Matriarche des Del Astra et Propriétaire de la bijouterie « Les Joyaux »
OC Ariadne de @lacticwanda
Pouvoirs
Change-peau (Polatouche – Écureuil volant) : un pouvoir maîtrisé, contenu, rarement sollicité… jusqu'à ce qu'elle en ait le besoin. Ironiquement, aujourd'hui, cette forme est sa liberté. Elle file à travers Opale, s'élançant, aérienne, entre les lumières de la nuit, s’immisçant dans les secrets des uns et des autres.
Créateur
Staff
Disciplinée
Éloquente
Minutieuse
Obstinée
Stratège
 ? Del Astra / Mariage fatal

(scénario Opale à venir) 

Krista Reddington / Rivalité familiale

Les relations sont tendues entre Del Astra et Reddington depuis que ces derniers sont venus les concurrencer sur leur commerce fondateur. Non contents d'avoir récupéré le contrôle d'une bonne partie de la production de Myste en Xandrie, les Reddington ont également racheté et ouvert plusieurs mines dans les Monts d'Argent, poussant à un effondrement du prix des minerais précieux sous un apport en produits certes de moins bonnes factures, mais tout de même suffisant pour déstabiliser l'économie du commerce des Del Astra. Une guerre de réputation et financière a alors commencé entre les deux familles, impactant même Théodosia directement lors de son ascension vers son ancien poste de conseillère : On lui avait proposé une rivale en Krista Reddington. A présent que les Del Astra ne sont plus que l'ombre de ce qu'ils étaient, qu'adviendra-t-il de cette vieille rivalité ? 



Dernière édition par Uhr le Lun 31 Oct - 19:49, édité 2 fois
Mar 13 Déc - 19:17

Ekaterina IV Excelior / Indisponible

La famille Excelior, qui trône parmi les Sept Fondatrices, était à l’origine le socle culturel de la ville – tous des Strigois, leur longévité et la masse de leur savoir firent d’eux les historiens d’Opale dès sa fondation. Moult auteurs de renom naquirent en son sein, permettant à la famille Excelior d’amasser une fortune considérable sur les droits d’auteur très rapidement. Si la famille abrite toujours des académiciens de renom aujourd’hui qui s’assurent qu’Opale demeure présentée sous son meilleur jour entre les pages des livres d’histoire, elle prit un tournant radical sous la direction de sa nouvelle matriarche : Ekaterina, fille de Benedikt II Excelior.

Il faut avouer que la famille tomba quelque peu en décrépitude sur la scène politique d’Opale sous le long règne de son père et de ses aïeux, se reposant sur leur fortune, ne vivant que de nuit à boire le sang de prostituées et tout autre pauvre bougre en besoin d’argent, à aller aux spectacles… Pendant longtemps, si un Excelior trônait au Conseil, c’était par pur népotisme.

Puis vint Dainsbourg, et le monde fut chamboulé. Mercurius, frère aîné d’Ekaterina et héritier au titre de patriarche, y perdit la vie lors d’une visite diplomatique. L’événement plongea les Excelior non seulement dans le deuil, mais également dans une paranoïa croissante et étouffante. Benedikt continua cependant de mener sa famille comme il l’avait toujours fait : dans l’oisiveté la plus totale, mais en l’enfermant au sein de son luxueux manoir par crainte que la Brume vienne les réclamer eux aussi, dilapidant son argent pour faire creuser un réseau de souterrains en dessous de leur demeure qui leur permettraient d’évacuer la ville sans craindre le soleil en cas de besoin.

Le sang d’Ekaterina bouillait devant ce spectacle qui en plus d’être désolant, était extrêmement coûteux pour la famille qui voyait ses ressources s’amenuiser à grande vitesse. Révoltée par la paranoïa de son père et enragée par la mort de son frère, elle quitta le nid afin de se former auprès de la famille Reddington qui l’accueillit malgré quelques réserves. À leur contact, la jeune Strigoi se révéla être une fine femme d’affaires. Lorsqu’elle les quitta, elle fonda sa propre entreprise en partenariat avec eux, afin de redorer le blason de sa famille : Excelior Motors. Son père mourut peu de temps plus tard, dans de mystérieuses circonstances…

L’entreprise, fabriquant des véhicules tournant au Myste connu un succès retentissant : elle produisit non seulement des véhicules de plaisance, mais également des véhicules tout terrain qui propulsèrent Excelior Motors sur le devant de la scène de l’exploration de la Mer de Brume post cataclysme, n’hésitant pas à y participer elle-même. Très vite, ils fabriquèrent également les machines utilisées pour extraire le Myste. En une décennie, Ekaterina devint l’une des femmes les plus riches d’Opale, et obtint une chaire bien méritée au Conseil des Cinq.

Depuis le début de son entreprise, Ekaterina participe aux explorations, ne pouvant résister à sa nature curieuse, intrépide et obstinée. Elle fut acclamée à Opale comme une très grande exploratrice, ce qui lui vaut une grande popularité au sein de sa population. Au fil du temps, cela devint une affaire de perfectionnisme: si elle ne participait plus aussi souvent aux expéditions en raison de son nouveau siège au Conseil, elle insistait tout de même pour tester tous les véhicules elle-même, et se rendre sur les sites d'importants prospects miniers afin de s'assurer que tout se déroulait selon une méthode rigide qu'elle avait développée pour ses employés.

C’est cependant l’exploration qui manqua de lui coûter la vie et qui lui fit perdre une compagnie entière à cause d’un défaut du véhicule prototype avec lequel elle était partie et d’une attaque de monstre qui s’ensuivit dont elle fut la seule survivante, grâce à ses capacités raciales – pas entière cependant. Elle y perdit un bras. C’est là qu’elle rencontra sa fille adoptive : une Hespéride perdue dans la Brume qui lui sauva la vie et la ramena à l’Opale. Elle convainquit cette dernière de la suivre et l’adopta, lui donnant le prénom de Sibylle.

Suggestion au joueur, pas obligatoire: Ekaterina n'est jamais retournée dans la Brume depuis. Son "amélioration" ayant fortement baissé son affinité avec celle-ci, en plus d'un traumatisme inavoué, la grande dame a officiellement prit sa retraite de l'exploration... Mais s'intéresse fortement à l'industrie pharmaceutique et finance le développement du panacée, un remède miraculeux à base de Myste qui pourrait soigner n'importe quoi, peut être même son bras perdu?

L’argent et le pouvoir vont de pair, et il est difficile de cerner lequel d’entre eux la motive à développer son activité toujours davantage – ou si quelque chose d’autre se dissimule dans les méandres de ses ambitions. Visionnaire, impitoyable et faisant fi des mœurs de l’époque, Ekaterina ne s’arrêtera à rien pour s’enrichir toujours plus. Elle a des yeux partout dans l’Alliance et des contrats de très haute importance : notamment avec l’armée d’Epistopoli, qu’elle équipe de véhicules armés - des prototypes top secrets et terriblement puissants.

Ekaterina a des vues sur la guerre qui se dessine entre Epistopoli et Aramila, qui serait fort lucrative pour elle. Elle pourra décider ou non de jouer un rôle dans un possible déclenchement de cette dernière, en semant le chaos à Renon par exemple, ou en affaiblissant l’Eglise grâce à ses contacts Aramilans. Mais en attendant, elle demeure une reine au sein d’Opale, qui tient ses amis près d’elle et ses ennemis plus près encore. Une reine qui a, à son service, quelqu’un capable de flairer le moindre mensonge, la moindre intention dissimulée : alors ne tentez pas de la duper, si vous tenez au sang dans vos veines.
83 ans/ 19 décembre 1817
Améliorée (Strigoi)/ Féminin
Opale
Au choix/ Elle
Dirigeante/ Conseil des Cinq (L'Intérieur) + Patronne d'Excelior Motors
Feat Renata (League of Legends)
Pouvoirs
Poids plume (racial) ou une habileté d’Amélioré (ou les deux si DC)
Créateur
Sibylle
Visionnaire
Impitoyable
Ambitieuse
Possessive
Rusée
Manipulatrice
Idéaliste?
Sibylle P. Excelior / Fille adoptive

L’as dissimulé dans sa manche, sa botte secrète, sa diseuse de secret, son « Oracle d’Ombrelune. » Ekaterina considère qu’elle a « fait » Sibylle : elle l’a nommée, lui a appris à lire, à écrire, à mentir, à survivre parmi les hommes. Avec son pouvoir d’hypersensibilité et sa capacité de naviguer la Brume comme si elle n’était pas là, Sibylle est un atout extrêmement précieux aux yeux d’Ekaterina. Ainsi elle la chérit, elle la gâte, cède à ses rares caprices et la choie, la tenant aussi loin possible de ceux qui ne partagent pas ses opinions. Ekaterina a cependant des doutes sur la loyauté de cette dernière qui semble s’enhardir et s’émanciper quelque peu dernièrement : il faudra songer à lui rappeler à qui elle appartient.  

Krista Reddington / Protégée

Reniée par sa famille depuis sa mutation Krista se retrouva dans une position délicate, car chez les Reddington, on ne survit pas longtemps quand la famille ne vous trouve plus aucune utilité. Mais heureusement pour elle, Ekaterina trouvait un vif intérêt personnel dans les recherches de Krista. La patronne d’Excelior Motors fit a Krista une offre qu’elle ne pût refuser : en échange de comptes-rendus réguliers concernant l’avancée de ses recherches, elle lui fournirait financement et protection. Krista doit la vie à Ekaterina et grâce à elle sa famille préfère bénéficier de ses recherches plutôt que l'éliminer… Pour l’instant.


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